Maryse
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
couleurs,
couplus,
cocus,
vacances,
bain,
miroir,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
... J’ai faim. Pas toi ? Et si on se commandait une pizza ? J’ai besoin de reprendre des forces. La nuit n’est pas finie. Je planais encore et Luc me ramène sur terre. — À cette heure ? Mais tout est fermé.— Non, pas chez "P……". C’est une entreprise familiale ; le père cuisine, le fils livre.— Ah…— Et le fils Mario aime bien livrer chez nous ; il a toujours un gros pourboire.— Ah…— Je vais chercher mon téléphone. Tu veux quoi ?— Merci, pas pour moi. Il part, et quelques minutes plus tard revient. — C’est fait. Dans 15 minutes. On pique une tête en attendant ? Il m’entraîne. L’eau est bonne. Son téléphone vibre alors que nous sortons. — Il est là. J’y vais. Il part en simple appareil. Je veux bien croire qu’un livreur de pizza en voit de toutes les couleurs en période estivale – enfin, c’est ce qu’on dit – mais cela doit faire un drôle d’effet de se trouver face à un grand Black tout nu. Je souris intérieurement. Le pauvre garçon… — Je te présente Maryse. Je me retourne et me retrouve nez à nez avec Luc, mais aussi un garçon. — C’est Mario. Je me sens nue et cherche une serviette. — Laisse, il a l’habitude chez nous. N’est-ce pas, Mario ? Le garçon sourit. Un sourire innocent. Un visage d’ange, chevelure blonde, encore un enfant. — Mais, Luc, il est trop… Luc sourit. — Rassure-toi, il est majeur. N’est-ce pas Mario ? Sinon on serait accusés de détournement de mineur, et ce n’est pas le genre de la maison. Il a 19 ans et il plaît beaucoup aux dames… et aux hommes aussi, avec ce ...
... visage… En plus, il est doué ; Laeticia pourrait te le dire. Un silence où le garçon me détaille sans vergogne, manifestement habitué à trouver ici des femmes dont la qualité principale n’est pas la vertu. — Mario, et si tu piquais une tête ? Le gamin – pardon, l’homme – échange avec Luc un regard de connivence, comme si ce n’était pas la première fois qu’ils vivaient cette scène. En deux mouvements il est nu et plonge. — Il est beau, hein ? Il plaît beaucoup. J’ai pensé que tu apprécierais. D’ailleurs, je ne te l’ai pas dit mais "son pourboire ", c’est toi. J’ai pensé à lui pour finir la nuit. Je veux que tu t’en souviennes. Je suis sidérée. Cet homme, mon amant depuis seulement quelques heures, en est déjà à vouloir me céder à un autre. Il est fou s’il pense que je vais accepter ! Tout de même, je ne suis pas une pute que l’on se partage. Déjà que j’ai… Mais Mario sort de la piscine. L’éclairage lui donne une forme irréelle, contre-jour qui marque sa silhouette, les épaules larges, les hanches étroites. Je n’avais pas remarqué sa stature, juste son visage poupin. Nul doute qu’il a un physique qui doit plaire aux gamines de son âge, et si je comprends, aux autres aussi. En quelques pas il est vers nous. Ses cheveux mouillés le font paraître encore plus jeune. Un Adonis moderne. — Vous êtes très belle. Il a une voix douce. — Je vous ai déjà vue en ville. Vous ne m’aviez pas remarqué, mais moi si. Alors quand Luc m’a dit que vous étiez chez lui, j’ai rêvé que nous pourrions… Mon ...