Trois hommes et un cadavre
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
Collègues / Travail
médical,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
humour,
policier,
... caresse experte et enthousiaste. Ses lèvres coulissaient autour de ma verge dans un rythme rapide et régulier agrémenté de succions et de caresses du bout de sa langue. La chaleur de sa bouche se communiquait à mon bassin jusque dans mes reins, et mon Dieu que c’était bon de se laisser aller ainsi. Lorsqu’elle me sentit prêt (et ce fut rapide, compte-tenu de sa dextérité), elle ne rechigna pas à tout avaler. D’un autre côté, au moins, comme ça, il n’y a pas de trace. J’aime le sens pratique des gens… Peter était le premier amant de ma liste. Lorsque j’arrivai chez lui, la pluie venait juste de s’arrêter, et franchement c’était pas trop tôt. En sortant de ma vieille Ford, je me fis la réflexion que Sandy Kraminsky ne choisissait pas de coucher avec n’importe qui. La baraque était immense, de quoi loger la princesse du Cambodge et toute sa suite (Pourquoi je pense à elle d’un seul coup ?). Piscine, immense parc, 3 étages et probablement des couloirs dans lesquels on pourrait se perdre facilement (pas génial quand on a envie de pisser…) ; bref, le grand luxe, surtout comparé à mon deux-pièces-cuisine-sans-femme-de-ménage. D’après ce que je savais de lui, le gaillard était courtier en bourse, du genre à se faire quinze fois mon salaire annuel en un seul petit mois. Sans savoir pourquoi, j’eus tout de suite quelques a priori sur lui ; les préjugés détruiront un jour le monde… En arrivant, je tombai sur une femme d’origine étrangère, Indienne peut-être. — Bonjour, je cherche ...
... Peter.— Vous êtes un de ses amis ? me demande-t-elle avec un fort accent.— J’aimerais lui parler.— Alors vous n’êtes pas un de ses amis, me réplique-t-elle avec un sourire étrange.— Pourquoi ?— Ses amis ne veulent jamais lui parler. Ils veulent le baiser… Il est sur la terrasse. Et elle me laissa planté là dans mes réflexions. Bizarre le Peter ! Ses amis viennent le baiser ? La femme Kraminsky avait vraiment de drôles de fréquentations… Je me rendis donc sur la terrasse, suivant les indications de cette femme, peut-être femme de ménage, et je trouvai notre gaillard. Peter était assis devant un grand mug de café, un ordinateur portable devant lui, une jolie blonde en peignoir à ses côtés. C’était le mec beau gosse par excellence avec une gueule à la Brad Pitt et une musculature avantageusement mise en valeur par son T-shirt moulant. Le genre de mec que n’importe quel homme « lambda » ne peut s’empêcher de jalouser, mais également de dénigrer (eh oui, les hommes sont comme ça). — Vous désirez ? me demande-t-il d’une voix de crooner.— Vous parler.— Ah bon ? Alors asseyez-vous. Je prends place sur la chaise qu’il me désigne (non sans remarquer qu’il a eu l’air surpris lorsque j’ai dit vouloir seulement lui parler), et c’est alors que je remarque que la blondinette ne semble rien porter sous son peignoir. L’échancrure de celui-ci dévoile plus que la naissance de ses deux seins généreux dont on verrait presque les aréoles tant le vêtement n’est pas serré. Pour ce qui concerne les choses ...