1. Mister Hyde - 13


    Datte: 20/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de la semaine. - J’ai adoré que vous me contactiez par internet, c’est comme si vous aviez fait sauté les parenthèses de ma vie. Vous étiez loin mais vous étiez là. Je n’avais pas à m’inquiéter de mes pensées jalouses, vous n’étiez pas avec une autre puisque vous étiez avec moi. Et puis il y a eu cette idée, celle d’aller sur un tchat. C’est super pervers mais qu’est-ce que c’est drôle et excitant aussi. Même si la plupart des mecs sont aussi triste que des bonnets de nuit, il y en a quand même quelques uns qui valent le détour. Surtout parmi ceux qui montent des scenarii, ils sont surprenants. Il y en a même un qui m’a fait jouir, juste avec ses mots et les situations qu’il avait inventées, sans que j’aie besoin de me toucher… Frédéric fronça les sourcils. - Tu ne m’as pas raconté ça. - Oh si ! Bien sûr que je vous l’ai dit. Même que vous m’avez grondé parce que je mettais trop de temps à vous répondre. - Et, qu’a-t-il dit pour te faire jouir ? Frédérique se redressa, elle était rouge de honte mais le souvenir était si vif qu’elle était excitée. Elle baissa les yeux pour avouer : - Il a dit que j’étais une suceuse de chiotte et il m’a pissé dans la bouche. - Et tu as jouis ? Un long silence, le visage baissé de Frédérique, une gifle pour la presser de répondre et enfin, sa voix, fluette et timide : - J’ai jouis quand il m’a ordonné d’avaler… Frédéric se leva d’un bond et attrapa au vol ...
    ... la chevelure de sa soumise. Il la traîna jusqu’à la cheminée. - A genoux sale truie dégueulasse. Il était debout au cœur de l’âtre, elle avachie au sol. Elle se redressa et s’agenouilla. Elle savait ce qui l’attendait, il avait déjà sorti sa queue. - Regarde-moi ! Elle leva les yeux, étonnée de ne pas pleurer, étonnée de sentir la mouille envahir son vagin. Il allait pisser, elle serait sa cuvette de chiotte, elle ne valait pas mieux. Il allait pisser et la marquer comme un chien marque ceux qu’il domine, comme un loup marque son territoire. Il allait pisser et la forcer à avaler. Et elle le ferait, parce qu’elle était à lui. Le liquide chaud s’écoula sur ses cheveux et son visage, il ruissela jusque sur sa robe et trempa ses seins aux tétons tendus, son ventre frémissant, son sexe soumis, déjà, aux spasmes du plaisir, ses cuisses ouvertes et prêtes à l’accueillir. Il lui enjoignit d’ouvrir la bouche et visa son gosier. Bientôt, bientôt il ordonnerait… Et ce ne fut pas long. - Avale ! Deux syllabes et tant de bonheur… N’importe qui pouvait jouir dans la bouche d’une femme, seul un Maître avait assez d’autorité pour y pisser et faire avaler son urine. Voilà ! elle venait de franchir une nouvelle étape dans sa soumission : ils étaient désormais liés de la plus intimes des façons. Elle avait bu sa pisse, c’était l’ultime preuve qu’elle lui appartenait et qu’elle n’appartiendrait qu’à lui. 
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