1. La Muse (5)


    Datte: 20/12/2017, Catégories: Erotique,

    Chapitre 5 : Le massage : premiers émois Cécile m’enduisit d’huile. Elle commença par mon ventre, descendant sur mon pubis touffu puis ses doigts remontèrent rapidement vers mes seins. Elle les malaxait avec douceur, effleurant de temps en temps mes tétons durcis. En moi, il se passait quelque chose d’inconnu : le désir. Un désir qui ne finissait pas de monter chaque fois qu’elle faisait rouler mes tétons entre ses doigts. Dans mon bas-ventre, une véritable fournaise me faisait onduler. J’avais chaud. Je ne m’entendais pas gémir, je ne me voyais pas frissonner mais je sentais encore plus les doigts de Cécile glisser le long de ma fente. Ma minette transpirait d’envie, j’étais inondée de cyprine suintante de ma vulve encore vierge. Les doigts de Cécile avaient pris possession de moi et butaient contre mon hymen. Dans le casque, la musique devenait plus rapide ; mes tétons subissaient les pincements qui augmentaient aussi d’intensité ainsi que le va-et-vient des doigts dans mon antre. Je devenais folle de désir… En moi se produisit une chose que je ne connaissais pas jusqu’alors : une puissante décharge qui envahit tout mon corps d’un seul coup. Je serrai les poings et les dents pour ne pas crier. Je me raidis. Je suais à grosses gouttes, j’étais secouée comme une poupée de chiffon ; que c’était bon, infiniment bon… Mon orgasme dura longtemps. Cécile laissa ses doigts en moi en appuyant sur mon pubis ; je ne pouvais plus bouger mon bassin. Elle continua à me pincer les ...
    ... tétons pendant toute la durée de cet orgasme. Quand le calme fut revenu, j’étais heureuse mais épuisée ; elle continua son massage comme si de rien n’était, et je me suis endormie. Une main sur mon épaule, un casque qui s’enlevait ; le loup disparut. — Bon anniversaire, Jennifer. Au son de cette voix sensuelle, j’ouvris les yeux. Elle était là au-dessus de moi, les yeux coquins et le sourire sensuel. J’eus envie de l’attraper, de lui prendre la tête, de lui offrir ma bouche ; elle posa son doigt sur mes lèvres et me dit en tenant mon peignoir ouvert : — On passe à la suite ? Enroulée dans mon peignoir, je la suivis jusqu’à la partie coiffure du salon. Elle m’installa sur un fauteuil à un poste où on lave les cheveux, et interpella une collègue : — Lili ? Tu t’occupes de mademoiselle ; fais-la-moi belle. Jennifer, je vous reprends après pour la manucure ; à tout à l’heure. Maman avait disparu du salon ; peu importe : ici, j’étais bien. La coiffeuse me lava les cheveux ; ils en avaient grand besoin. Une fois l’opération terminée, elle m’installa à un poste de coiffure. — Que voulez-vous faire, Mademoiselle ? — Je ne sais pas, lui répondis-je. J’étais encore plongée dans ce qui venait de se passer et me foutais royalement de comment serait ma coupe de cheveux. — Vous me laisser faire ? — Oui, pas de souci. Je la laissai œuvrer à sa guise. Après avoir épointé mes cheveux, elle me fit une jolie coiffure un peu gonflante. Cécile me récupéra pour la séance de manucure. — Alors, ...
«12»