1. La Muse (5)


    Datte: 20/12/2017, Catégories: Erotique,

    ... Mademoiselle, tout va bien ? Le massage vous a plu ? me demanda une dame qui devait être la patronne. — C’était parfait, merci ! Ce fut mon unique réponse à cette question purement commerciale. Cécile, assise en face de moi, s’occupait avec application de mes ongles ; une question me taraudait. Je lui chuchotai : — Cécile, les massages sont tous comme ça ? Elle détacha son regard de mes ongles, et avec un grand sourire me répondit que celui-ci était unique et qu’il n’était pas à la carte ; elle termina par un « Chuuut… », un doigt posé sur ses lèvres et un joli clin d’œil complice. Maman fit son apparition, un sac en papier à la main et vint vers moi. — Alors, ma chérie, tout va bien ? Tu as aimé ? — Merci, maman, c’était génial ! — Je vais poser cela devant ton casier. La séance était terminée ; je suis allée m’habiller. Maman avait déposé ce que nous avions acheté. Quand je fis mon apparition dans le hall du salon, j’ai eu droit à une belle ovation : sans vouloir me la péter, je dois dire que j’étais vraiment canon. J’avais tout mis : string, soutif, chemisier, minijupe, le trench et les escarpins. Dans le miroir du hall, j’ai découvert le reflet d’une belle jeune femme respirant le bonheur. En partant, je fis la bise à Cécile qui me souffla un « À bientôt… » toujours aussi sensuel. En rentrant à la maison, papa laissa échapper un « Oh, la vache ! Mais tu es magnifique, ma fille ! » Le soir, il nous offrit le restaurant ; j’eus droit à l’éternel « Happy birthday » et sa ...
    ... bougie incendiaire sur le gâteau. Le lendemain, papa avait organisé une grande fête à la maison avec papy et mamy ; ils m’ont offert une carte de dix massages au même salon : j’étais hyper contente ! Rémi était invité ; il m’a offert un joli bouquet de fleurs et un pendentif en argent avec un cœur, fin et discret ; j’étais aux anges. J’ai entraîné Rémi dans un recoin de la maison où je l’ai embrassé. Je vibrais de tout mon corps, j’avais envie de faire l’amour, et lui aussi ; notre étreinte était forte, je sentais son sexe tendu à travers son jeans. Il me demanda, m’implora de faire l’amour mais je refusai en lui disant que nous avions fait un pacte : le bac d’abord ! Mais j’ai eu pitié de lui, alors je l’ai entraîné dans ma chambre où je me suis dévêtue et l’ai déshabillé entièrement. Il m’a touché les seins, les fesses, le sexe. J’étais folle d’envie ; mon ventre me faisait mal tellement j’avais envie. dhzdbbgt Nous nous sommes embrassés comme jamais, puis je me suis agenouillée et j’ai pris son membre en bouche ; je l’ai sucé, sucé… Il m’a éjaculé dans la bouche. J’ai reçu son foutre au fond de ma gorge ; c’était horrible, j’ai failli vomir ! Il était aux anges ; moi, j’ai tout craché, je me suis rhabillée en vitesse et j’ai foncé dans la salle de bain pour le laver les dents. Trop occupés, mes parents n’y avaient vu que du feu. Pour enlever ce goût infâme, je réclamai un verre de champagne et j’allai trinquer avec mes grands-parents ; Rémi était déjà parti. [À suivre] 
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