La turluuute finaaale (air connu) - Histoires de Sexe

La turluuute finaaale (air connu)

... annulaire (tiens, n’ai-je pas entendu un léger soupir ?) pour, comme je devais rester poli, les remplacer d’un coup de reins par le fantastique braquemart préparé de bouche de maître par ma Belle ! J’apprends vite à soigner nos hôtes à leur juste valeur, visiblement… De halètements, elle passa aux petits cris, puis aux gémissements. Et lorsqu’enfin elle nous joua les grandes orgues de la montée au paradis, ma Gentille Organisatrice, n’y tenant plus, lui écarta les jambes pour, à grand renfort de caresses et de – comme Elle ne sait pas la tenir (une vraie femme, quoi) – langue, lui prolonger son orgasme pendant un siècle au moins… — On t’a réveillée peut-être ? m’inquiétai-je.— Ben, faut dire que vous êtes un peu remuants, le matin…, répondit-elle, pleine d’à-propos dans un grand sourire radieux.— Euh, ça ne vous dérange pas si je prends une douche rapide ? ajouta-t-elle. Échange de regards. — Mais non, bien sûr ! que nous nous écriâmes. D’ailleurs, on t’accompagne ! Hospitalité, quand tu nous tiens ! — On te veut tout beau, tout propre ! qu’elles ont dit. Et là, en vraies petites fées du logis, de s’y coller, tout contre bibi, l’une devant, l’autre derrière ; savonné de la tête aux pieds, t’aurais vu ça ! Sans les mains ! Viens que j’t’astique l’asticot ! Quand côté pile elle descend, côté fesse elle remonte ; synchrones ; les donzelles ! Et paf, v’là qu’elle veut être bien sûre de finir le boulot et, comme on dit, tant qu’on n’a pas goûté, on ne peut pas savoir ! Maintenant, ...

... elle sait ! Et, oooh non ! Vraiment tous les recoins… — C’est à qui, ce doigt inquisiteur ? Et ma pudeur là-dedans ? On s’en fout ?— Oui ! (en chœur).— Ah bon, ben on s’en fout, alors… Une fraction de seconde avant l’explosion finale, se disant que, bon, ce serait dommage de devoir tout recommencer, Lô et l’eau s’arrêtent. — On le laisse partir ? interroge Gwendoline.— Faut bien que quelqu’un aille chercher les croissants…— Eeeh, mais non ! me laissez pas partir ! Z’avez sûrement oublié de frotter quelque part ! Faut pas bâcler comme ça, les filles ! J’vous jure ! L’amour du travail bien fait ! La conscience pro-fe-ssio-nnelle ! Promis ! J’irai ! Z’en voudrez combien ? Avec des oranges pressées ! Mais vous… le soyez pas tant, mes beautés ! Juste dix minutes… Ma Blonde enfila un gant de crin et, avec un sourire carnassier : — Tu es sûr, mon Amour ? Je suis comme ça, moi… Quand on rentre dans le chantage affectif, je perds tout mon légendaire courage et cours me réfugier, au hasard, chez mon si débonnaire et sympathique boulanger. Puis tiens ! Tant qu’à faire, je vais prendre six croissants. « Et prends ton temps », qu’elles avaient rajouté. Alors j’ai un peu flâné ; vous savez comme sont les femmes entre elles : on sait quand elles commencent sous la douche, on ne sait jamais quand elles finissent… Et qu’est-ce qu’elle a à mater comme ça, la madame ? Oui vous, là, avec les joues rouges, devant la librairie ! Elle a jamais vu une braguette éclatée ou quoi ? Mais non, mais non, ...