La turluuute finaaale (air connu)
Datte: 22/12/2017,
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... vous évanouissez pas, ma p’tite dame ; voilà, je mets mes croissants devant. J’aurais dû en prendre plus ? Et qu’est-ce que vous croyez ? Je ne suis pas un garçon comme ça, Madame ! Je ne donne pas mon numéro à n’importe qui ! Il était temps de rentrer. — Viens t’installer, chéri… Wouaw ! La paire de prostiputes ! Elles avaient profité de mon absence pour parler chiffons. La brune préférait visiblement les porte-jarretelles, l’autre les petits déshabillés (très) transparents ! Par contre, elles s’étaient mises d’accord sur les hauts talons, une question de niveau sans doute… Très joli, ce bustier en soie, et assorti à la culotte… Vous êtes charmante, ma chère ! Et quant à vous, Mademoiselle, sachez que la dentelle souligne à merveille le galbe et de vos seins, et de votre charmant derrière ; puis-je me permettre ? Les trois chaises étaient disposées, curieusement, du même côté de la table. Gwendoline me présenta obligeamment celle du milieu et s’installa, sans gêne vraiment, sur mes genoux. C’était pour la bonne cause : elle beurrait mon croissant pendant que ma Belle, tout aussi serviable, me servait café et jus d’orange. Par pure politesse, je caressai un sein et une fesse en guise de remerciement. S’ensuivit un délicat échange de ces petites attentions qui font un déjeuner réussi, l’une m’essuyant les lèvres avant d’y poser les siennes, l’autre déboutonnant mes chemise et pantalon, comprenant intuitivement que je risquais d’avoir trop chaud… Une petite pipe avec ma ...
... cigarette ? N’ayons pas peur d’abuser, n’est-ce pas… Et ces cousseins sur lesquels repose si confortablement ma nuque… Non, vraiment, vous me gâtez ! J’étais dans cet état d’abandon et de béatitude céleste, confiant et benoîtement heureux. Et là, j’ai compris. Les garces ! Elles avaient tout prévu ! Un complot, un traquenard ! Je n’ai pas de mots assez forts ! Tout en me suçant avec une apparente désinvolture, en sifflotant pour ainsi dire, Elle me guidait les mains vers l’arrière de la chaise en me disant : — Carrèche-la… Là vous voyez, ça, ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille ! Je la connais ! Elle ne parle jamais la bouche pleine ! Mais au lieu de cela, plutôt que de me lever d’un bond, de les plaquer face contre la table avec une poigne de fer et de les sodomiser jusqu’à ce qu’elles avouent leur duplicité, ben je l’ai carrèchée… Elle se saisit alors de mes poignets et d’un geste sûr – pas de doute, elles avaient bien prémédité l’affaire ! – de me menotter aussi sec ! Fâcheuse posture. J’étais devenu la proie de deux femelles perverses et lubriques ! — N’est-il pas mignon avec son gros zizi tout dur ? gloussèrent-elles.— Je peux toucher ? demanda Gwendoline à ma Diabolique Salope.— Mais bien entendu, chérie ; après toi… Elle n’allait quand même pas nous ressortir le couplet sur l’hospitalité ! — Mais… Mais…— J’te l’avais dit qu’il poserait des questions.— Ouaip, tu l’avais dit ! Elle retira un bas, le gauche, et en fit une boule qu’elle m’enfonça dans la bouche ; elle ôta ...