Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (2)
Datte: 22/12/2017,
Catégories:
Lesbienne
... faire ça. Une fois de plus je suis partie en cours avec le bas du ventre tout chaud, je ne regardais plus mes copains comme avant, même mes copines j’avais peur qu’elles arrivent à déceler un changement en moi. Mais bon j’ai réussi à faire abstraction de cela pour la journée et j’étais assez content de moi car j’ai accroché sur tous les cours. Le soir venu, j’ai envoyé un petit SMS à ma bienfaitrice, mais à mon grand regret je n’ai pas eu de réponse. Je me suis restaurée avec une pomme et une banane avant de me mettre à travailler. Bien évidemment je ne pouvais pas me passer de la culotte de Geneviève, à tel point que maintenant elle était pratiquement devenue mon doudou. Mon travail personnel portait ses fruits, à tel point qu’il était fréquent que des copines viennent me voir pour me demander de l’aide. Il était vingt-trois heures passées et je n’avais toujours pas de nouvelles de Geneviève. Mes paupières commençaient à se faire lourdes et une fois de plus, j’étais gênée car il était évident qu’avant de m’endormir, il allait falloir que je me fasse un petit plaisir. Finalement le message libérateur est arrivé. [SMS] < Coucou ma chérie, je suis désolée pour mon silence aujourd’hui, mais j’ai eu beaucoup de travail. < Je ne vais pas rester longtemps en communication car je suis crevée. En repensant à l’heure à laquelle elle s’était levée ce matin, et en constatant qu’elle ne rentrait que maintenant ; cela lui faisait une sacrée journée, je comprenais aisément sa fatigue. ...
... [SMS] > Bonsoir Geneviève, je vais vous avouer que j’attendais votre petit message avant de m’endormir. > Je vous fais de gros bisous pour vous aider à vous endormir, bon courage pour demain. yvkyddsx Bien évidemment, comme prévu, je n’ai pas pu me retenir de me chatouiller l’abricot avant de m’endormir avec les doigts poisseux et odorants. Les messages se sont espacés jusqu’au vendredi après-midi, Geneviève m’invitait à ce que nous nous retrouvions vers dix-sept heures trente, au niveau de l’entrée du stade. À l’heure convenue nous nous sommes retrouvées, comme d’habitude Muriel était au volant et Geneviève m’a ouvert la porte en m’invitant à la rejoindre. Je ne me suis pas fait prier pour m’engouffrer dans la limousine. Geneviève était toujours d’une grande élégance et fort désirable et il ne nous a fallu que quelques secondes pour que nous nous embrassions naturellement. — Je n’en pouvais plus d’attendre de retrouver la douceur de tes lèvres et l’innocence de tes gestes. Les quelques instants où nous suspendions notre baiser, Geneviève en profitait pour me déclarer sa passion. Comme la semaine dernière, je n’ai pas pu me retenir de poser mes mains sur ses cuisses couvertes de bas voile. Contrairement à la fois précédente, mes mains se sont posées bien plus haut sur ses cuisses, je pense même que j’en sentais la chaleur de son intimité. Il n’y a pas à dire cela ne dérangeait pas du tout Geneviève, à tel point que pendant que je l’embrassais, je l’entendais un peu soupirer. À ma ...