Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (2)
Datte: 22/12/2017,
Catégories:
Lesbienne
... grande surprise, j’ai senti la main gauche de Geneviève venir se poser sur un de mes seins. Contrairement à la semaine dernière où j’avais posé ma main sur sa poitrine car je ne savais pas où la poser ailleurs, là ma bienfaitrice, venait tester la sensibilité de ma poitrine et -qui sait- peut-être même jauger la plastique de la petite auto-stoppeuse. Je ne voudrais en aucun cas faire l’éloge de l’inceste, mais elle avait un côté maternel avec moi qui me touchait beaucoup. Pour la première fois, dans la voiture il y avait une petite musique de fond, à savoir à un opéra de Verdi. Geneviève avait tapé dans le mille car j’appréciais énormément ce compositeur, son parfum très fin et la musique, le tout réuni me comblait. Comme dimanche dernier, je me laissais aller, Geneviève me mettait en confiance, j’arrivais à faire tomber mes tabous un par un. J’étais tentée de remonter mes mains entre ses cuisses, mais la douceur de ses jambes prenait le dessus et je ne pouvais me retenir de les caresser. De temps à autre, Geneviève faisait une pause et elle m’observait avec un regard passionné, je sentais qu’elle avait envie de moi mais qu’elle ne voulait pas brusquer les choses. La main de ma bienfaitrice a décidé qu’il était préférable de caresser mon sein à même la peau, c’est ainsi qu’elle s’est faufilée sous mon chemisier et sous mon soutien-gorge pour tenir ma poitrine à pleine main. Mon sein sentait la chaleur de sa peau, elle était très douce avec moi, une telle initiative a ...
... transformé mon minou en torrent. J’avais vraiment hâte que l’on passe aux choses sérieuses, mais de son côté Geneviève avait l’air de vouloir prendre tout son temps. J’avais l’impression de me découvrir, car moi aussi maintenant je prenais des initiatives, en l’occurrence, ma main qui caressait ses jambes était maintenant en train de remonter en haut de ses cuisses. Plus je montais haut en dessous de sa jupe toute douce, plus la chaleur et la moiteur augmentaient. J’ai répété le geste à plusieurs reprises avant de finir par rentrer en contact avec sa culotte toute douce, elle aussi était toute trempée. Je ne savais pas ce qui m’arrivait, car jamais de ma vie je n’avais regardé une fille, jamais de ma vie je n’avais fantasmé sur une femme, mais depuis je connaissais Geneviève tout avait changé. J’ai l’impression que Geneviève essayait de me mettre en confiance, pour que je prenne des initiatives et je peux vous garantir que ça marchait. Le plus beau, c’est que quand mes doigts sont entrés en contact avec sa douce culotte en lycra, elle a sursauté et surtout poussé un petit cri. Bien que spacieuse, la voiture commençait à sentir très fort le minou et cela avait une tendance à m’exciter toujours plus. Une fois de plus c’est moi qui étais au-dessus dans nos ébats, je ne sais pas ce qui m’a pris quand je lui ai fait écarter les jambes pour aller poser ma langue. Bien évidemment Geneviève a obtempéré et je lui ai retiré sa culotte pour immédiatement la porter à mon nez. Une fois son petit ...