1. Candaulisme : un, deux, trois et demi


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, ff, hh, fhh, cocus, hotel, Transexuels Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... éclairage tamisé, de mettre un peu de musique et de sortir la bouteille de champagne que la porte de la chambre s’ouvre. C’est bon signe. Elles aussi doivent être bien chaudes. Dès leur arrivée, mon sexe tressaille. Tous trois nous trinquons silencieusement. Je ne sais pas à quoi elles peuvent penser, mais moi, c’est un « ENFIN » que mon cerveau hurle. Anne descend son verre d’une traite et me tend sa coupe pour que je la remplisse. Je fais de même et, sous le regard d’Alexis, nous trinquons à nouveau, comme une sorte de pacte muet. La deuxième coupe bue, Anne me pousse vers le lit pour m’y faire asseoir. — Regarde mon Chéri. Et elle me laisse. Alors j’assiste au plus beau des spectacles. L’effeuillage sensuel de ces deux femmes est d’un érotisme à la fois délicat et fort. Il suffit d’un mouvement pour qu’Anne fasse tomber la robe d’Alexis. Elle apparaît presque nue, car comme sa robe le laissait supposer, le soutien-gorge n’est pas de mise. D’ailleurs à quoi servirait ce bout de tissu pour cette poitrine parfaite, faisant fi de la pesanteur. Deux lobes parfaits, symétriques, dont les pointes érigées se placent parfaitement au centre et à l’horizontale. Je comprends l’attirance d’Anne pour ce chef d’œuvre que la nature ne saurait créer mais qu’un chirurgien esthète a greffé sur ce corps d’homme. D’homme ? Encore rien ne peut le faire penser. La petite culotte, rouge, comme la robe, dégage parfaitement les fesses mais cache plus le pubis. Je ne peux m’empêcher de regarder ...
    ... pour chercher l’indice masculin, bien que, d’après le copain de Jean, cet indice serait digne de reconnaissance. Mais non, rien, je ne vois rien et pourtant Alexis se charge actuellement de déshabiller ma femme. Quelle délicatesse ! Quelle façon de détacher chaque bouton, ouvrir le chemisier, relâcher ses seins de leur carcan ! J’aime la façon dont Alexis embrasse la poitrine d’Anne, poitrine bien plus forte et surtout plus naturelle qui pourrait pâtir de la comparaison mais qu’Alexis suce avec avidité. Les deux femmes font excès de zèle. C’est à celle qui sera la plus entreprenante. Baisers, caresses, mains qui s’égarent… Je bande de ce spectacle. Quand je pense que ce n’est que le début ! Alexis pousse à son tour ma femme vers le lit. Elle l’allonge juste à côté de moi. Dans un geste d’une lenteur calculée, elle tire sur la culotte blanche ornée de dentelle. Anne soulève ses reins dans un mouvement lascif pour faciliter la disparition du dernier rempart de sa nudité. Voilà, ma femme est à côté de moi, nue, et un visage qui n’est pas le mien qui plonge entre ses cuisses. Pour l’instant, homme ou femme, les caresses sont universelles. Tout simplement, naturellement, Anne écarte les cuisses et les repose sur les épaules de la propriétaire de la bouche gourmande qui commence ses caresses. J’ai l’impression d’être transparent dans ce tableau qui se joue à deux. Mais une main exploratrice, celle de ma femme, se plaque sur mon pantalon où elle trouve une bosse que le tissu a bien du ...
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