1. Candaulisme : un, deux, trois et demi


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, ff, hh, fhh, cocus, hotel, Transexuels Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... dans le couloir que j’arrive à déterminer l’origine de ce qui m’attire. La porte de notre chambre est à peine entrebâillée, mais assez pour laisser filtrer ce qui s’y passe. Serait-ce que mon rêve se réalise enfin ? Ma patience serait-elle enfin récompensée ? Mais oui ! Ce qui s’échappe ne laisse aucun doute des activités qui s’y pratiquent. Mais la seule chose que je puisse voir montre que la chambre est dans le noir. Si je pousse la porte pour mieux profiter de mon « infortune », il est certain que les amants vont remarquer cette lumière que les baies vitrées du salon laissent entrer et inonder cette partie du couloir. J’en suis réduit à n’être qu’un témoin auditif de mon « cocufiage ». Je reconnais bien sur la voix d’Anne, la bouche qui laisse échapper tout ce concert de petits gémissements, de petits cris que je connais si bien. L’homme doit être en train de la lutiner. J’imagine ses doigts, sa bouche, sa langue plonger dans l’intimité de ma femme pour lui arracher cette symphonie de « oui, oui, encore, là, ne t’arrête pas », qui dure une éternité comme s’il voulait la conduire au plaisir le plus lentement possible. Manifestement c’est un expert du cunni. Il emmène ma femme dans une succession de jouissances, comme un peloton de cyclistes enchaîne les petits cols avant de terminer l’étape par celui classé « hors catégorie ». Jamais je n’ai entendu ma femme crier sa jouissance si fort et de façon si crue. Heureusement, à cette heure de la soirée l’immeuble résonne du ...
    ... bruit des enfants et des télés. Un instant la jalousie vient gâcher mon plaisir. Pas la jalousie du mari cocu, non, la jalousie de l’expertise de cet amant dans les caresses buccales. Je me dis que je peux sûrement faire des progrès de mon côté. Un court moment le silence s’installe dans la chambre. J’imagine qu’Anne doit reprendre ses esprits. Seul le frottement des draps est perceptible. L’homme se met peut être en position pour posséder cette chatte qu’il a si bien préparée et qui doit dégouliner du jus de la femelle comblée. Mais en prêtant l’oreille il me semble entendre à nouveau des bruits humides. Bruits de salive, de langue qui suce ou lèche. Et si Anne renvoyait l’ascenseur ? Peut-être que c’est elle qui suce maintenant la queue de son amant, ultime caresse avant de venir se prendre dessus. Anne aime bien monter sur mon sexe et se baiser. Peut-être que c’est ce qu’elle prépare. — Oh, Anne tu lèches comme une déesse. J’entends pour la première fois la voix de l’homme. Dans mes fantasmes, je n’ai jamais, ni vu son visage, ni entendu le son de sa voix. Un ectoplasme ! Oui, un ectoplasme, mais toujours monté comme un âne. Quelle sensation étrange ! Un timbre particulier ! En tout cas, ce n’est pas un des hommes que je connais. S’en suit un long moment de léchage, uniquement entrecoupé de gémissements indistincts. Enfin, j’entends. — Va chercher le gode. Prends-moi. Vite ! Je connais cette voix. Je suis sûr de l’avoir déjà entendue. Une voix rauque, presque grave. Une voix ...
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