1. Candaulisme : un, deux, trois et demi


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, ff, hh, fhh, cocus, hotel, Transexuels Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... appareil enregistre est une longue plainte de ma femme, gémissement littéralement expulsée de sa gorge sous la pression du mandrin qui l’encule maintenant jusqu’à la garde. — Voilà, tu l’as dans le cul, dit Alexis de cette voix rauque qui est si sensuelle. Et en même temps, il me regarde. — Allez, Alexis, baise-la fort. Je décide de me joindre au concert des amants. Et j’insiste. — Va, bourre-lui le cul qu’elle ne puisse plus marcher, cette cochonne. Il sourit et attaque son va-et-vient. Ample, profond, rapide, de plus en plus rapide, de plus en plus fort au point qu’il doit retenir Anne pour qu’elle ne s’effondre pas sur le lit. Je filme tout, en plan large, en gros plan et j’arrive même à saisir l’instant où Alexis balance sa sauce dans le cul de ma femme. Chaque avancée chasse le sperme qui coule sur les cuisses d’Anne. Il fait sombre mais on m’a vanté la sensibilité du capteur de mon appareil. Les amants s’effondrent l’un sur l’autre. Alexis qui écrase ma femme de tout son poids, se laisse glisser sur le côté. Je filme encore quelques secondes pour graver dans le silicium de la mémoire de mon smartphone, les images du cul de ma femme, libéré de son envahisseur y ayant abandonné des traces blanchâtres qui suintent lentement. Un fondu-enchaîné sur l’objet masculin, humide, déjà un peu relâché, qui penche maintenant du pubis, preuve évidente de la saillie. Chacun reprends ses esprits. Le champagne que je propose est bu comme de l’eau. Il faut bien que le corps ...
    ... reconstitue ses réserves. Un long moment, tout le monde se tait, tout le monde est sur le lit. Les anges qui passent s’éloignent, les ailes et le corps recouvert de sperme et de suc de minou. Je les regarde, couché sur le côté en appui sur un bras. Alexis est juste là, allongé sur le dos, avec Anne de l’autre côté. Alexis tourne la tête vers moi, un sourire complice aux lèvres. Ce n’est plus l’Alexis membré que je vois, mais l’Alexis femme présentant un visage en parfaite harmonie avec la poitrine si ferme que les seins semblent collés sur le torse. Elle voit mon regard et vient prendre ma main pour la poser sur les lobes et les mamelons érigés. Si la scène d’avant pouvait faire douter de la féminité d’Alexis, le contact de ma main sur ses seins de rêve se charge d’apporter la réponse. La peau est douce sous mes doigts et je sens bien, avec ma paume, le mamelon qui régit au frottement. Je passe d’un sein à l’autre et suis surpris de sentir ces lobes déjà fermes se gonfler encore, faisant pointer les tétons que ma vision oblique transforme en pics alpins. Alexis se tourne sur le côté. Son visage est très proche du mien. Je peux détailler le grain de sa peau, le parfait maquillage, ses longs cils et sa bouche pulpeuse. Elle doit me trouver bien rude, la peau marquée par quelques rides, une ombre sombre que, même rasé de près, ma barbe abandonne. Pourtant elle me regarde avec indulgence et s’approche. Waouh ! Je ne sais pas si ce sont ses lèvres qui touchent les miennes, prémisses d’un ...
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