1. Candaulisme : un, deux, trois et demi


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, ff, hh, fhh, cocus, hotel, Transexuels Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... fantôme. Il faut reconnaître à Anne qu’elle sait garder son sang-froid et qu’après un « à demain Alexis », elle se tourne vers moi et avec un naturel qui m’épate me dit. — Tu es là, Chéri ! Je ne t’avais pas entendu rentrer. Et elle vient m’embrasser. Son peignoir s’ouvre largement et j’ai la vision fugace de cette poitrine, qui, quelques minutes plus tôt devait être caressée par cette « Alexis ». — Tu veux un verre ? J’en prendrais bien un. Et simplement, elle s’installe à côté de moi et nous trinquons. Pourtant, après un court silence, elle reprend. — Tu es là depuis longtemps ? C’est le moment que j’ai imaginé depuis si longtemps. Bien sûr, jamais je n’avais pensé trouver Anne avec une femme, mais après tout, cela ne change pas grand-chose à la situation. — Une petite heure. Je sens que ma réponse commence à inquiéter ma femme. — Une heure ? Tu es dans ce fauteuil depuis une heure ?— Pas vraiment. Avant de m’installer ici, je t’ai cherchée dans l’appartement. Je peux entendre son cerveau qui mouline à toute vitesse et calcule toutes les hypothèses. Mais, une seule réalité persiste. — Alors tu as vu ?— Vu, non. Entendu, oui !— Ah ! Elle attend peut-être que je réagisse, mais non. Alors : — Tu sais Chéri que j’ai toujours été fidèle… Pourtant ce ne sont pas les occasions qui ont manqué…— J’imagine.— Non, tu n’imagines pas le nombre d’occasion qui se sont présentées et que j’ai refusées par amour pour toi.— Alors tu ne m’aimes plus. C’est cette « Alexis » que tu aimes ...
    ... maintenant.— Mais non. Que vas-tu imaginer. Je t’aime comme au premier jour.— Alors ! Alexis c’est qui pour toi ? J’aurais compris que tu me trompes avec un homme, mais une femme ? Elle hésite. Cherche ses mots. — Elle est particulière. Ce n’est pas une femme ordinaire.— Donc c’est pour le sexe ?— Peut-être que je te choque, mais oui. Attention ne crois pas qu’avec toi je n’ai plus de plaisir. Mais avec elle c’est différent, très différent.— Et cela dure depuis combien de temps ?— Trois mois. Je ne peux m’empêcher de répéter : — Trois mois ! Et d’ajouter : — J’espère que tu as pris tes précautions. Je n’ai rien vu. Quel aveugle je fais, alors que je croyais être très vigilant. — Oui, ne t’inquiète pas, j’ai toujours été prudente. Et depuis quelques temps nous avons fait des tests. Incroyable. Je n’ai rien vu et elles en sont déjà au stade de baiser non protégées. Devant mon étonnement qu’elle prend pour un début de colère, Anne corrige : — Mais je te promets que je vais arrêter. Si j’arrête, tu me pardonnes ? Combien de fois ai-je imaginé cet instant. Le moment où je tiens le rôle du gentil. Cocu, oui, mais gentil. La mansuétude que j’affiche doit être la source de nouveaux plaisirs. Les fantasmes que j’avais construits étaient basés sur l’existence d’un amant. Mais après tout, une maîtresse peut aussi ouvrir d’autres portes. — Mais oui, je te pardonne. Même, si tu veux continuer ta liaison, je ne m’y opposerai pas. Je ne veux que ton bonheur et je suis certain que ton bonheur ...
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