Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
... sensuelle, surprenante dans la bouche de… Mais oui. Je sais maintenant. C’est la voisine. Alexis. Une rousse incendiaire que j’ai déjà croisée dans l’escalier. Toujours sexy. Toujours attirante. Au point, que plus d’une fois je me suis fais la réflexion qu’elle devait être une affaire au lit et pourtant elle vit seule. Et voilà qu’elle est maintenant dans mon lit. L’amant de ma femme est en réalité une femme. Je suis cocu, mais par une femme, pas par un homme. Jamais je n’avais imaginé, même dans mes fantasmes, cette situation. Tout est remis en cause. Anne ! Une lesbienne ! Mais la terre ne s’arrête pas de tourner devant ma surprise. J’entends distinctement le grincement de cette porte d’armoire que j’oublie toujours de graisser. Ainsi c’est là qu’Anne cache ce gode. Les nôtres, enfin ceux que nous utilisons parfois sont dans ma table de nuit. Godes classiques. Fixes ou vibrants. Plugs. Œufs vibrants. Enfin tout ce qu’au fil des années nous avons achetés et expérimentés. Combien de fois ai-je appareillé ma femme avec un plug dans le cul et un œuf vibrant que je télécommande, déclenchant des orgasmes dans des lieux les plus surprenants. Mais je pense que celui qu’elle cache est d’un autre genre. Mon imagination s’est déjà remise en marche. Je vois un double gode ceinture. Je vois Anne le fixer sur elle, passant les lanières sur ses hanches et autour des cuisses après avoir, certainement une lueur perverse dans le regard, fait entrer une des extrémités dans sa chatte. La ...
... suite, pas besoin de l’imaginer. Très vite le claquement des chairs ressemble aux chocs des peaux lorsqu’un homme possède une femme à grands coups de reins. Ici, l’homme c’est ma femme et c’est Alexis, la rousse incendiaire qui se fait ramoner. En levrette ? Couchée sur elle ? Je regrette de ne pas pouvoir le voir. Mais en tout cas, la rousse apprécie. Elle aussi encourage sa partenaire à grand renfort de mots plus forts les uns que les autres. Tout cela m’excite au plus haut point et même si la situation n’est pas celle que j’avais imaginée, l’érotisme est bien présent. Je dois dégager ma verge totalement étouffée dans mon pantalon et heureusement j’ai la présence de cracher mon jus dans le mouchoir que j’ai toujours dans ma poche. Quelques minutes plus tard je quitte mon poste pour aller m’installer dans un fauteuil du salon. Le couple aussi en a terminé et je vois la voisine passer dans le couloir, accompagnée par ma femme qui lui roule une dernière pelle avant de se quitter. Aucune des deux ne me voit. Pourtant je ne suis qu’à quelques pas, il est vrai que, derrière moi, les derniers rayons du soleil doivent former une cape protectrice. À peine quelques minutes plus tard, on sonne à la porte et Anne repasse pour ouvrir. C’est la voisine. Elle a à peine le temps de dire : — J’ai oublié… Qu’elle me découvre dans mon fauteuil. — Oh. Monsieur B… Vous êtes là ! Bonsoir… Je ne vais pas vous déranger… Je reviendrai une autre fois, dit la voisine en repartant comme si elle avait vu un ...