Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
... Je le l’aime pas. C’est toi que j’aime. Comment peux-tu en douter ? Elle se rend compte de la faiblesse de ses arguments. — C’est uniquement pour… pour… le sexe. Voilà, tu es content. Ta femme est une salope. C’est ce que tu voulais entendre. Je me fais plus tendre. — Mais non, Chérie. Je veux juste que tu me donnes des détails. Qu’est-ce que cette Alexis fait de mieux que moi ? C’est une question piège. Comment va-t-elle s’en sortir ? Justifier mon cocufiage sans me rabaisser. Tout un programme. — Elle est… Elle est différente. Tendre. Possessive… Mais d’un seul coup, Anne s’arrête. Elle me regarde. Son regard a changé. Ce n’est plus la femme coupable qui cherche à se justifier. Elle enchaîne. — J’ai compris. Oh oui, j’ai compris pourquoi tu me demandes tout cela. Sa main glisse sous le drap, passe l’élastique de mon boxer. — Tu bandes. Tu bandes dur, mon salaud. Cela t’excite. Mais oui, c’est comme derrière la porte l’autre jour. Avoue que cela t’excite que ta femme ait un amant… une maîtresse. C’est vrai que sa main rencontre ma queue bien raide. Je démarre toujours au quart de tour et rien que de penser à ma femme avec cette Alexis, homme ou femme, cela m’excite. Anne ne perd pas de temps. Elle tire sur le drap, enlève le boxer pour libérer ma verge bien vivante et repoussant sa chemise de nuit, vient s’empaler sur moi. — Coquin. Pervers. Mon mari est un pervers, dit Anne en me chevauchant avec une lueur dans le regard.— Coquine. Adultère. Ma femme me trompe. Je ...
... bande, elle mouille, dis-je en écho. Nous rions de notre complicité. Un moment elle monte et descend sur mon pieu. Sa grotte est humide et je glisse dans sa crème. C’est bon. Très bon. Ma verge gonfle de ce traitement. — Oh, elle est grosse !— Cela ne te manque pas avec Alexis ? À moins qu’elle utilise le gode sur toi, comme tu l’as fait sur elle l’autre jour. Ce rappel perturbe Anne, mais d’un coup de rein, je la renverse et ma queue s’enchâsse en elle, bien à fond, envahissante et immédiatement transformée en bâton de chair qui entre et sort avec une force, presque une violence possessive. Elle ne répond pas et se laisse bourrer avec un plaisir évident, les yeux fermés. Et si derrière ces yeux clos, elle revivait ses séances avec Alexis ? Le sexe d’Alexis était-il déjà entré dans cette chatte que je baisais ? Ou bien n’était ce que le côté femelle qu’elle appréciait ? D’un mouvement je la mets en levrette. Mon sexe est dur, gonflé, douloureux de ce spectacle et de tout ce que mon imagination génère. Mon gland se place au contact de l’anus. D’un coup de rein j’encule ma femme bien-aimée qui ne peut retenir un « Ah » de douleur. D’habitude je suis plus délicat. Mais je suis au fond sans autres protestations. Ma queue dilate le conduit si étroit. Je m’appuie de tout mon poids sur son dos. Mes mains sont libres. Une, emprisonne un sein pour le tordre et tirer sur le téton gonflé de plaisir. L’autre s’occupe d’un autre téton, plus intime, protégé par une gaine que je repousse. Au ...