1. La consécration


    Datte: 22/12/2017, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, amour, hsoumis, fdomine, Oral pénétratio, attache, baillon, yeuxbandés, init, confession, cocucont,

    Résumé des épisodes précédents : Audrey s’ennuie de plus en plus de n’avoir plus d’amant. Elle a des vues sur le patron de Marc. Cette situation est vraiment très inconfortable, mais Marc, malgré le pacte qu’il a scellé avec Audrey, espère encore qu’il ne s’agisse que d’une blague destinée à l’exciter et mettre du piment dans son couple. –––oooOooo––– Le lendemain, j’ouvris donc la salle comme prévu. On est jeudi, il n’y a jamais grand monde le jeudi… j’en profite pour me faire une petite séance de musculation. Mon esprit est ailleurs. Les minutes s’égrainent telles des années tant le temps me semble s’écouler lentement. Ce n’est pas possible qu’Audrey puisse conclure dès aujourd’hui, ils ne se connaissent qu’à peine. Mais que peuvent-ils se dire ? Et si elle se montre trop entreprenante que va donc penser Jérôme à mon égard ? Midi moins le quart, Jérôme n’est toujours pas là, mon téléphone reste, quant à lui, vierge de messages et d’appels. La salle est vide, juste une personne sur le tapis de course et un gars assis sur le banc de muscu en train d’envoyer des textos. Et moi je suis là à stresser, à me morfondre, à tourner en rond… 12 h 15, je mange ma gamelle lorsque je vois la voiture de Djé se garer devant la salle. Le rendez-vous avec ma femme aura donc duré 2 h 15… Eh bien, ils en avaient des choses à ce dire ! Jérôme rentre dans le bureau et me lance avec un large sourire ; — Ola Marco ! Merci pour l’ouverture et désolé, mais j’avais un rendez-vous important avec mon ...
    ... banquier.— Aucun souci, Djé ! Si je peux dépanner, c’est avec plaisir. Un rendez-vous avec son banquier, quel culot ! En plus il me prend pour un con ! Qu’ont-ils pu se dire, ou faire ? S’il avait la conscience tranquille, il ne se serait pas senti obligé de me sortir pareille couleuvre. –––oooOooo––– Le soir venu, je m’empresse de quémander quelques informations auprès de ma femme : — Alors ton rendez-vous, ma puce ?— Quel rendez-vous ? Elle est bonne celle-là ! Comme si elle ne savait pas de quoi je parle ? J’insiste : — Tu ne devais pas voir Djé, ce matin ?— Ah oui ! Mais c’est que tu es drôlement curieux, mon p’tit cocu ! me répondit-elle l’air amusé.— Ben un peu, oui ! T’es ma femme et lui, mon patron… je me sens quand même un peu concerné.— Je te rappelle que je n’ai aucun compte à te rendre, c’est la règle, alors, non, ça ne te regarde pas ! Dépité et au bord de la crise d’angoisse, j’insiste un peu : — S’il te plaît, ma puce— OK, ben rien… il s’est décommandé au dernier moment. Un rendez-vous de dernière minute chez son banquier, désolé mon cocu. Oufff ! D’un coup je respire. L’angoisse pesante et omniprésente qui me rongeait s’évanouit instantanément laissant même la place à un brin de déception. Je la prends dans mes bras et lui dis hypocritement d’un ton qui se veut rassurant : — Quel dommage, ma puce, je suis vraiment désolé pour toi.— T’inquiète, mon cocu ! Ce n’est que partie remise. –––oooOooo––– La semaine se termine, on est samedi il est 16 h et je m’apprête à ...
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