1. La consécration


    Datte: 22/12/2017, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, amour, hsoumis, fdomine, Oral pénétratio, attache, baillon, yeuxbandés, init, confession, cocucont,

    ... peuvent avoir les femmes sexy sur les hommes ! Ah, le pouvoir que peut avoir ma femme sur moi ! Je me retrouve donc là, ligoté, bâillonné, les yeux bandés sur cette chaise. J’éprouve alors une terrible sensation d’impuissance et pourtant, me sentir ainsi à sa merci m’excite aussi énormément. Mon souffle s’accentue, mon rythme cardiaque accélère, mon sexe se durcit et quelques gouttes de sueur me suintent sur les tempes. Sans un bruit, sans un mot, je sens Audrey dégrafer ma ceinture et me déboutonner le pantalon. Elle s’empare de mon sexe bandé de désir et s’écrit ; — Oh, mais quelle belle bite, mon cocu ! La soirée s’annonce sous les meilleurs auspices. Quelle belle bite ? Mon cocu ? Mais où est donc passé le romantisme ? Où sont donc passés les « mon chéri, mon amour, mon bidou » ? La sonnette d’entrée retentit. Audrey me laisse là, ainsi planté au milieu et va ouvrir. Je me débats, tente de me libérer, j’aimerais crier, mais aucun son ne sort. Elle ne peut pas faire ça ? Elle ne peut pas me faire ça ! Je suis là, assis et ligoté sur cette chaise, la queue à l’air et quelqu’un rentre. Non, mais de quoi ai-je l’air ? J’entends donc Audrey dans le couloir ouvrir la porte et dire : — Ah, salut, Jérôme ! Je n’attendais plus que toi, tout est prêt et mon cocu attend dans le salon.— Salut, Audrey. Tu es vraiment magnifique, tu ne peux pas t’imaginer comme je suis impatient, lui répondit-il. Jérôme ici ? Elle n’attendait plus que lui ? Jérôme, mon patron ? Il est impatient ? Je ...
    ... deviens fou ! Elle m’avait dit ne pas l’avoir vu ? Je les entends approcher et entrer dans la pièce où je me trouve. Jérôme s’esclaffe alors : — C’est pas vrai ! En plus d’être la plus sexy et ravissante des femmes, tu es aussi la plus douée… je ne pensais pas que tu réussirais ce coup-là !— Je te l’avais pourtant dit, c’est mon cocu. Il fait ce que je lui dis et, en plus, ça l’excite. Regarde comme il bande ! Et c’est vrai ! Dans la panique, je ne m’en étais pas rendu compte. Je bande comme un âne, ma queue est redressée et gonflée à l’extrême. J’entends Jérôme s’approcher de moi et lui répondre : — Mais c’est donc vrai que ça lui plaît d’être cocu. C’est super ! Depuis que j’attendais ça, je commençais à penser que ce n’était qu’une fable… Et voilà ! J’en ai un devant moi. Audrey s’adresse alors à moi ; Eh bien, oui, mon cocu ! J’ai effectivement rencontré Jérôme jeudi. Je lui ai dit que tu étais candauliste et soumis. Je lui ai aussi dit que j’avais un faible pour lui. Il n’en revenait pas, car, m’a-t-il dit, son plus grand fantasme est de baiser une femme devant son mari. D’où l’idée de cette soirée… Audrey m’empoigne alors le membre, toujours dur à l’extrême, et rajoute : — Certes, tu ne peux pas parler, mais ton sexe parle pour toi. Je suis heureuse de voir que ça te plaît, mon cocu. Tu sais, Jérôme m’a déjà bien baisée jeudi. J’y ai pris un pied d’enfer, rien à voir avec ce que j’ai déjà pu ressentir avec toi. Je l’entends alors s’éloigner et, plus rien… ah si ! des ...
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