1. Quatuor pour une Saint Sylvestre (1)


    Datte: 23/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pleins de douceur, et je sens la fine dentelle glisser sur mes seins, pour finalement les dévoiler. Les mains de Lucas s’attardent quelques instants sur mes tétons, jouant à les faire saillir, puis elles descendent, et se posent sur la fermeture de ma jupe. — Vas-y, enlève-la, lui dis-je d’une voix troublée par le désir. Je n’ai pas cessé de frotter mes fesses contre lui. D’un geste précis, il dénoue et écarte les pans de ma jupe, qu’il lance au loin. Dans un miroir, j’aperçois mon reflet, avec mon string minuscule et mes bas résille, et je parais toute petite auprès de ce colosse. Je me tourne, je passe mes bras autour de son cou, et mes seins s’écrasent contre son torse d’athlète. Je lève des yeux brillants vers Lucas, et je le regarde en entrouvrant mes lèvres. Il comprend tout de suite ce que j’attends, et nos bouches s’unissent, sa langue part à la recherche de la mienne, pendant que ses mains empoignent mes fesses nues. Notre baiser est interminable. A son tour, il frotte sa queue contre mon ventre, et j’ai l’impression qu’elle a encore grossi. Je ne peux pas résister plus longtemps à mon désir et à ma curiosité. Je déboutonne sa chemise, et je l’arrache plus que je ne l’enlève. La ceinture et la braguette ne me résistent guère plus, et je baisse le pantalon de Lucas en même temps que son boxer… Enfin, je découvre sa bite! Longue, épaisse, d’une couleur sombre, j’ai rarement admiré un engin de cette taille… Je le prends d’une main fébrile, pendant que Lucas fait sauter ...
    ... les agrafes en métal doré qui retenaient mon string, et je commence à le branler. — S’il te plaît, suce-moi, me demande-t-il. Tu m’as excité à mort. A côté de nous, Carine a posé un pied sur la table basse du salon, et Colin, à genoux, est en train d’explorer son abricot avec ses doigts et sa langue, lui arrachant de petits cris de plaisir. Moi aussi, je m’agenouille devant Lucas. Rien que d’imaginer ce chibre planté bientôt dans mon ventre, je sens ma grotte se liquéfier. J’embrasse du bout des lèvres l’énorme gland rose que j’ai décalotté, puis je descends le long de l’interminable tige, remontant ensuite en léchant la hampe dressée à la verticale. Je continue ce manège pendant quelques minutes, exacerbant le désir de Lucas, qui savoure, la tête renversée en arrière. N’y tenant plus, il prend ma tête entre ses mains, pour amener ma bouche au sommet de sa bite. Je ne le fais pas attendre plus longtemps, et je prends son pieu dans ma bouche. Je le suce, l’aspire, le mordille… C’est un vrai régal, pour la gourmande que je suis, même si je suis bien incapable de le prendre en entier dans ma bouche, loin s’en faut. Je suis complètement absorbée par cette fellation, jusqu’à ce qu’un bruit me fasse lever la tête. Carine vient d’ouvrir la cloison coulissante qui sépare le séjour de son coin chambre, au milieu duquel trône un grand lit. Elle tient Colin par la main, et l’entraîne vers le lit, sur lequel ils se laissent tomber tous les deux, enlacés. A son tour, Lucas me guide pour ...
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