Quatuor pour une Saint Sylvestre (1)
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... les rejoindre, et il m’allonge sur le dos, à côté du couple. Il empoigne mes cuisses, les écartèle, et je devine tout de suite ce qu’il veut. J’écarte moi-même les grandes lèvres de mon sexe, pour offrir ma chatte en feu à sa bouche. Aussitôt, je sens ses lèvres se poser sur elle, l’embrasser, se fourrer entre mes petites lèvres, aspirer le suc qui coule en abondance. Je gémis et je pousse de petits cris, de plus en plus forts au fur et à mesure que sa langue se fait plus indiscrète, léchant mon petit bouton, s’enfonçant dans ma fente. Au comble de l’excitation, mon clito pointe hors de son étui et se dresse, comme un minuscule pénis. A quelques centimètres de moi, Carine continue de sucer Colin, et elle donne enfin libre cours à son désir. Elle lui demande de s’allonger sur le dos, et l’enjambe. — Chloé, je voudrais que tu fasses comme moi, me dit-elle, en maintenant le pieu dressé entre ses cuisses. J’ai toujours rêvé que nous chevauchions deux mecs, cote-à-côte. Je compris plus tard que cette position faisait partie de son plan, pour l’échange de nos partenaires juste au moment du passage en 2017: du lit, nous pouvons apercevoir l’écran de la télévision, et il reste moins d’un quart d’heure avant minuit… Lucas ne demande pas mieux que de satisfaire Carine. Il s’étend sur le dos, saisit mes poignets, pour me guider sur lui. Je reste un instant immobile, hypnotisée par le spectacle de Carine qui, les yeux fermés, s’empale lentement sur la queue de son mec. J’ai l‘impression ...
... d’être à sa place, de sentir l’énorme dard me transpercer. Mais c’est bientôt la réalité: à mon tour, je guide la bite de Lucas vers ma fente, qui s’ouvre sur son passage. Malgré la taille de l’engin, je suis tellement trempée qu’il s’enfonce en moi sans me faire mal. Au contraire, c’est une impression d’être entièrement remplie qui m’envahit, au fur et à mesure qu’il disparaît entre mes cuisses. Je me laisse descendre sur le mât de Lucas, jusqu’à ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. Puis je marque un temps d’arrêt, contractant doucement les muscles de mon vagin autour de sa tige. Je dois lui procurer des sensations bien agréables, si j’en juge par ses grognements… Je m’aperçois que Carine m’observe à son tour, fascinée par la scène. Nous commençons alors à monter et descendre sur les sexes de nos partenaires, d’abord très doucement, puis de plus en plus vite. Je me redresse jusqu’à presque laisser sortir de ma fente le magnifique gland de Lucas, puis je m’emmanche en me laissant tomber sur le dard qui me transperce. Pendant que Lucas malaxe mes seins et mes fesses, c’est un concert de gémissements, de cris, d’ahanements, qui remplit la chambre. — Elle te plaît, cette grosse bite?, me demande Carine, entre deux plaintes. — Oh oui… Putain… Qu’est ce qu’elle est bonne… — Çà te plaît toujours autant, qu’on te regarde baiser? — Tu peux parler… T’es pire que moi. Mais nous ne pouvons pas poursuivre davantage cette conversation. Je sens le plaisir qui monte en moi, partant ...