1. Sacrée Myriam


    Datte: 23/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Il a enfoui sa tête sous la couverture et il suce mes bouts de seins bandés au point d’en être douloureux. Je le branle avec une énergie folle et meurt d’envie de le prendre en bouche. Au lieu de cela, je lui murmure à l’oreille que je rêve qu’il me défonce, que je suis sa putain, sa salope pour quelques jours. Je pense déjà à la baise à laquelle nous allons nous livrer en débarquant. Il remonte et me glisse à l’oreille à quel point il désire mon cul depuis qu’il me connaît, combien il envie mon mari, combien il me trouve bonne, combien il meurt d’envie de me troncher dans tous les sens. Cette fois, j’explose, je me mords le bras pour ne pas hurler. Ma chatte coule à n’en plus finir. C’est le moment qu’il choisit pour sortir ses doigts de mon vagin et en enfoncer deux dans mon trou du cul. J’empale mon fessier sur ses doigts insolents qui fouillent mon conduis et je jouis de plus belle. Sa deuxième main m’agrippe la nuque et tire ma tête vers sa queue. Je comprends sa requête et aspire sa jolie tige. Je pompe vigoureusement et je sens le nœud se gonfler dans ma bouche puis exploser en flots de sperme chaud et épais. Je bois jusqu’à la dernière goutte la liqueur de cet homme que je désire tant. Je relève la tête au moment où il ouvre les yeux et l’hôtesse se tient souriante face à nous. Les couvertures sont tombées et je suis la chatte et les seins à l’air. Mikaël, débande à peine et sa bite est aussi à l’air libre. « Je vois que le voyage se passe bien Messieurs Dames ! ...
    ... Je vais juste vous demanderai juste de vous couvrir un peu pour ne pas dissiper les autres passagers. » Nous sommes honteux mais enfin calmés. Je remonte ma culotte et mon jean. Sous mes fesses, mon siège est trempé comme une soupe. Le prochain passager à s’assoir à cette place gardera sur sa jupe ou son pantalon mes effluves les plus intimes. Nous somnolons blottis l’un contre l’autre. Le désir ne tarde pas à se faire sentir à nouveau et les mains redeviennent baladeuses. Le voyage se passe ainsi chaud et excitant. A notre arrivée à Pointe à Pitre, nous ne pensons qu’à baiser pour de bon. Ma tante nous fait la bonne surprise de nous attendre. Nous devrons donc attendre encore un peu nous aussi. Tante Lucie qui est aussi ma marraine nous accueille chaleureusement. Je la trouve très en beauté cette petite bonne femme avec encore un joli popotin serré dans un pantalon blanc et un top fleuri bien décolleté. On dirait vraiment que le temps n’a pas de prise sur elle et je sens une petite pointe de jalousie quand je la vois prendre Mikaël dans ces bras. Surtout que ce dernier voyant mon attitude se gausse de faire semblant de lui toucher le cul pendant l’accolade. Nous roulons vers la maison et tante Lucie semble se douter de quelques choses vu les regards qu’elle me lance grâce au rétroviseur. Elle n’y va pas par quatre chemins et nous assène, avec son accent Antillais à couper au couteau : « Pas la peine que je vous prépare deux lits différents à ce que je vois ? » Je réagis la ...
«12...456...»