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Sacrée Myriam
Datte: 23/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... première : « Mais pour quoi ça, Marraine ? » « Tu me prends pour une idiote ou quoi ? ça sent le sexe à plein nez entre vous ! Tu sens la morue, toi ma petite fille ! Et toi, grand nigaud, tu crois que je ne vois pas la bosse dans ton pantalon ? Et tu crois que je ne t’ai pas vu lui tâter les fesses quand elle est montée en voiture ? » Nous sommes choqués et nous baissons les yeux comme deux adolescents honteux d’avouer à leurs parents qu’ils ont menti… Tante Lucie reprend la main : « Moi, ça ne me regarde pas et ça ne me gêne pas. Je ne me suis jamais privée d’utiliser les hommes des autres. Mais je ne veux pas d’histoires ! Vous faites ce que vous avez à faire tant que vous êtes tous les deux mais vous avez intérêt de vous tenir tranquilles et de tout arrêter quand les autres débarquent ! » L’espoir renaît et nous voici fous de joie à l’idée de pouvoir nous envoyer en l’air pendant cinq jours et cinq nuits sans avoir à nos cacher. Tandis que Mikaël décharge nos bagages, Tante Lucie me parle en aparté : « Je t’envie ma chérie. C’est vrai qu’il est beau. Malgré mon âge, chaque fois que je le vois, j’ai envie de passer à la casserole, glousse-t-elle. Tu sais, même ta mère m’a avoué un jour après plusieurs verres de punch coco qu’elle le laisserait bien jouer avec sa foufoune ! » Un peu éberluée par ce que je viens d’entendre, je réponds quand même à ma tante dont je suis très proche : « Tu sais Marraine, prenons ces 5 jours à venir comme une parenthèse qui n’existera plus ...
... ensuite. Donc s’il est d’accord et que l’occasion se présente, n’hésite pas. » « Faut pas me le dire deux fois ma petite fille. Garde bien ton Jules parce que ta Marraine va se faire un plaisir de l’épuiser ! » Mikaël nous surprend riant toutes les deux mais il n’y prête guère attention. Il m’enlace et recommence à me peloter en me tirant vers la chambre. « On y va ma chérie Mymy ? » Ses mots me font trembler de désir et je le précède tandis que sa main à déjà déboutonner mon jeans. J’ai à peine franchi le seuil que mon pantalon tombe à mi cuisses. Il m’empêche d’avancer d’avantage et écarte de mes fesses ma culotte épouvantablement souillée. Je sens sa bite nue sur mes fesses. Il fléchit ses jambes et je sens son membre passer sous mes fesses. Je comprends qu’il va me saillir debout, dans l’encadrement de la porte et devant ma tante qui n’en perd pas une miette. Je souffle : « Laisse-moi me mettre à quatre pattes sur le lit… » « Pas le temps, j’ai trop envie de ton cul et puisque ta Tante est au courant, autant qu’elle se rince l’œil ! ça fait 10 heures que je rêve de t’enfiler comme une chienne et que tu en meurs d’envie toi aussi. On aura toute la nuit et tous les autres jours pour baiser comme il faut mais là, je veux juste te tringler comme une bonne poufiasse ! » Ses mots me mettent dans un état complétement liquide (encore une fois) et je cambre mes reins, donne ma croupe de jument, je me mets sur la pointe des pieds pour lui offrir le chemin de ma grosse chatte pourpre ...