Maeda
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
Première fois
... vers moi de sorte que je puisse pousser l’exploration. Et force est de constater qu’il n’y a rien qui recouvre son sexe lisse ou j’attarde mes doigts, caressant ces lèvres de bas en haut, de haut en bas sentant une légère humidité poindre. Les lieux publics sont un fantasme pour moi, mais là au milieu d’une terrasse parisienne difficile d’aller plus loin. Je ramène mes doigts à ma bouche pour gouter cette saveur subtile, à peine salée. Heureusement que je me contrôle sinon je finissais à genoux entre ces jambes pour lui bouffer la chatte.Quelques minutes de taxi plus tard ; sa chambre d’hôtel. Décor simple, lumière indirecte, le jour se couche au travers de la fenêtre. A peine la porte refermée, je la saisi par la taille, la colle au mur et l’embrasse. Baiser qu’elle me rend immédiatement. Nos langues se mélangent, se tournent autour, nos lèvres se lèchent, se mordillent, se sucent. Elle passe une main dans mon cou et de l’autre caresse mon entre jambe gonflée à travers mon jean. Ça m’excite encore plus si tenter que ce soit possible. Nos baisers glissent le long de nos lèvres, de nos joues, de nos cous. Mon teeshirt se retrouve en boule dans un coin de la chambre, et rapidement son chemisier se trouve ouvert, laissant mes mains caresser son ventre et ses seins, suivit de mes lèvres. Depuis le café l’idée de lui bouffer le minou ne m’a pas quitté. Je descends donc de son cou, à ses seins joliment portés par sa lingerie, son ventre alors que de mes mains j’ouvre la ...
... fermeture de son tailleur, le fait glisser le long de ces jambes jusqu’à ces chevilles. Elle lève un pied puis l’autre pour que je la libère de cet habille puis écartant un peu les jambes me permet enfin de gouter directement son sexe. De son minou tout lisse, soigneusement épilé, ressorte ces lèvres charnues, déjà humides. Je retrouve ce petit gout salé, a peine tintée d’urine. J’entreprends une exploration en détail de son anatomie, passant ma langue de part et d’autre de ces grandes lèvres, puis des petites. Je les lèche, je les suce, et je glisse ma langue raide à l’intérieur de son sexe pour le remonter telle un ruisseau vers son clito. Mes mains tiennent fermement ces fesses alors que les siennes sont dans mes cheveux. De la pointe de ma langue je lui caresse le bouton de rose, par-dessus, par les coté, je le cherche, je le titille. A mesure que je le masse ce petit coquin se rétracte et se cache mais il ne va pas s’en sortir comme ça. Écartant ces lèvres, je dégage le chemin pour retourner le stimuler de mes lèvres en l’aspirant, de ma langue. Ce traitement semble commencer à faire de l’effet à Maeda puisque ses mains appuient maintenant assez fort sur ma tête pour que j’accentue la pression. Je ne me fais pas prier. J’adore son gout, et je bois à son sexe maintenant perlant de mouille. La position n’est pas idéale mais je continue mon labeur, encourager par son souffle qui devient de plus en plus court. J’accélère le mouvement de ma langue sur son clito, et j’accentue la ...