Maeda - Histoires de Sexe

Maeda

... pression. Je l’entends gémir, et commencer à devenir fébrile, son orgasme est proche, et dans un petit cri étouffé son corps lâche, se met à trembler de spasmes, de convulsions. Elle rit et me caresse le visage en l’éloignant de son sexe. Sa mouille m’inonde. Je l’essuie d’un revers de main. Je me relève, l’embrasse goulument, la prend et la jette sur le lit. Pendant que je défais mon pantalon, elle enlève son chemisier qu’elle me jette et libère ces adorables petits seins de son soutif. Nous voilà tous deux nus comme des verres. Son sexe encore ouvert et trempé, elle encore prise de secoues d’orgasmes. Moi je la regarde avec désir, comme si mes yeux étaient en feux, le sexe droit, le gland sorti. J’att**** mon sac, sort les capotes qui sont toujours là, ouvre le préservatif, le pose sur ma queue et en ne quittant pas ces yeux me dirige vers le lit. Elle se redresse, m’att**** le sexe d’une main, et le guide dans son entre jambe chaud alors que je m’allonge sur elle en la pénétrant lentement jusqu’au fond. On s’embrasse encore, et mes hanches se mettent en action sur des mouvements amples et profonds. Ça glisse tout seul bien que je sente sa petite chatte un peu étroite qui serre mon engin. Ces bras accrochent mon cou, et ces jambes enserrent ma taille pendant que la cadence d’aller-retour se fait généreuse. Dans cette position ce que j’aime c’est de voir le visage de ma partenaire du soir, de voir ces yeux mi-clos, ces lèvres pleines de désir, sentir ces seins sur ma ...

... poitrine et la tenir fermement dans mes bras pendant que le mouvement se fait rude. Par moment elle pousse de petits cris lorsque sur une fin de pénétration j’essaye d’aller encore plus profond en elle. Après un moment de cette douce torture, je me retire, la retourne (facile avec son petit gabarit) et la prends en levrette. Elle se relève, mon sexe en elle, cherche mon visage de ses mains alors que les miennes caressent ses seins, et jouent avec ces tétons tendus. Encore une fois nous bouches se collent, et alors qu’elle s’abandonne en me montrant son dos, je la surprends en lui attrapant les cheveux et en lui claquant le cul de mes mouvements de plus en plus rapides. De petits râles sortent de sa bouche au moment où je lui claque une fessée et que mon propre souffle devient court. Ça commence à faire beaucoup d’excitation pour ce soir, et ma résistance arrive un peu à bout. Me retirant, je vire la capote et lui demande de venir me sucer. Elle s’exécute, se retourne, dégageant son visage de ces cheveux, gobe le bout de mon sexe et glisse sa langue de long de mon frein, c’est trop bon. Elle me pompe de plus en plus vite le dard jusqu’au moment où une décharge de foutre inonde sa bouche, puis une deuxième et une troisième, moment où elle lâche mon sexe pour avaler ce que je viens de lui offrir. Ne me quittant pas des yeux, elle ouvre la bouche pour montrer qu’elle a été une bonne fille et reprend ma queue pour la nettoyer comme il faut. Je me sens tout détendu, la prend dans mes ...