Dame Erika (7)
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Chapitre 7 : Les préparatifs LIOUBOV Foncer ? Pas besoin de le dire deux fois, surtout que les servantes s’y mettent aussi ! Elles s’approchent, laissent tomber leur robe au sol et, impudiques, elles offrent leur corps. Elles paraissent assez jeunes – une vingtaine d’années sans doute – et leurs seins ronds comme des pamplemousses aux tétons fiers et pointus donnent envie de les lécher. Bien qu’assez petites, elles possèdent un corps élancé agréable à regarder, et leurs petites fesses bien rondes attirent le regard et invitent les mains à une palpation des plus sensuelles. Par contre, leur mont de Vénus ressemble plus à une forêt qu’à la dune du Pilat. Ayant retenu les travaux pratiques prodigués par Élise et Tina sur leur maîtresse, brutalement délurées elles se lancent dans des caresses qu’elles appliquent sur le corps des filles, un pelotage un peu hasardeux des fesses et des seins, sans oublier tout le reste du corps des deux filles courbées en deux, les mains en appui sur le bord de l’énorme baignoire remplie d’eau fumante. Leurs reins cambrés offre une vulve ouverte et ruisselante de cyprine, prête à accueillir les dards tendus et tant attendus des garçons. Sans autre forme de procès, ils empalent les deux vagins en même temps. Les filles râlent de plaisir ; leur souffle devient rapide, il y a urgence. Massées, sucées, tripotées, caressées par les servantes et limées comme des forcenées par les garçons, elles sont rapidement submergées par un violent orgasme. Elles ...
... crient, râlent, halètent, jurent et geignent des « Ouiii ! Aah… Ouiii, je jouis ! Encore… Plus fort ! Putain, que c’est bien… que c’est bon ! Ouiii ! » Le sourire satisfait des servantes ravies et persuadées d’avoir participé à une action hautement salutaire prouve qu’elles ont apprécié au plus haut point ce cours pratique. Le boucan fait par les six acteurs de cette scène pornographique a alerté Dame Erika, remise des ses émotions. Curieuse, elle passe le bout de son nez par l’entrebâillement de la porte et découvre le spectacle des filles penchées en avant, besognées par les garçons et traites par les servantes. Elle fait son entrée. À sa vue, les servantes se relèvent le rouge aux joues, tentant de cacher maladroitement leur intimité. Dame Erika s’approche d’elles ; une sorte de grand foulard jeté sur ses épaules cache difficilement sa nudité. Elle observe avec intérêt, le regard coquin et le sourire complice, puis elle pince légèrement la joue de ses servantes en accompagnant ce geste d’une tape sur leur fesse nues. D’un regard, elle leur ordonne de retourner continuer leur labeur. Dame Erika a dit « Au boulot ! » Une fois comblées, les filles se relèvent. Dame Erika regarde alternativement et avec insistance son pubis celui des filles et des servantes. — Comment se fait-il que vous soyez comme ça ? demande-t-elle en désignant le pubis d’Élise et Sara. — On les coupe avec des ciseaux et un rasoir, ou on les épile à la mousse ou à la cire ; c’est logique, non ? répond Élise. ...