Dame Erika (7)
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Cette logique évidente et implacable ne l’est pas pour Dame Erika : nous sommes au moyen-âge ; toilette intime, épilation et autres soins corporels ne sont pas encore entrés dans les mœurs. Voyant le désarroi de Dame Erika, Tina prend l’initiative et mime une aux ciseaux et le rasage au rasoir coupant les poils disgracieux au pubis mais aussi sous les aisselles, sans oublier la mousse à raser appliquée à l’aide d’un blaireau. Dame Erika a visiblement compris et demande à Sara, l’une des deux servantes (l’autre s’appelle Ode) : — Sara, va quérir des ciseaux et un coupe-choux chez le barbier ! Sitôt dit, sitôt fait : la servante se presse vers la porte. — Sara ! Dame Erika la hèle en tendant la robe de la belle servante encore toute retournée par ce qu’elle vient de vivre. Sans la vigilance de sa maîtresse, elle serait sortie chercher le matériel demandé entièrement nue, certes pour le plus grand plaisir des occupants du château et du barbier mais sans doute pas pour elle, risquant de mauvaises rencontres qui pourraient l’emmener directement au cachot. Ils sont tout propres ou presque ; rien ne vaut une bonne douche, mais le plombier n’a pas encore fait les travaux ! Les voici parfumés avec des huiles enivrantes aux extraits de fleurs et de plantes. Sara étant de retour avec le matériel demandé, Dame Erika demande aux filles de jouer les esthéticiennes, en commençant par les deux servantes. Leur pubis et les aisselles sont rasés de près, puis enduits d’une huile parfumée ...
... pour adoucir le feu du rasoir. Dame Erika inspecte, caresse les pubis et aussi les sexes dans leur totalité, vierges de tout poil. Visiblement satisfaite du résultat, elle se débarrasse de son foulard et demande à subir le même sort, certaine que cette tenue ne pourra que plaire à son époux. Après maintes grimaces et gémissements, la voici fin prête. Un passage devant la psyché ; Dame Erika admire le résultat, se tourne et retourne devant le miroir, observe ses bras, ses fesses, son pubis et le reste ; elle se touche l’entrejambe qui est ainsi vérifié, contrôlé. Satisfaite, elle annonce avec un grand sourire : — Je ressemble à une gamine ; mon chevalier de mari va apprécier. En vérité, je ne sais si je vais aller voir le magicien ; j’ai énormément aimé ce que vous m’avez fait tout à l’heure, jolies damoiselles, aussi je pense vous garder. — Merci, Dame Erika, nous vous devons bien cela : vous nous avez sauvé la vie, reconnaît Élise. — C’est vrai : vous avez bien failli trépasser. Mais bon, nous verrons cela plus tard. Il vous faut vous préparer. Le sourire et le regard malicieux de Dame Erika la trahit ; ils comprennent le côté humoristique de sa répartie. Élise enchaîne : — Si vous voulez, nous allons vous montrer comment faire. Mais pitié, Dame Erika ! Allons voir ce magicien… implore Élise qui, à genoux et les mains jointes, la supplie du regard. — Vous êtes bonne comédienne, damoiselle Élise ; j’espère que votre spectacle sera royal. — N’ayez d’inquiétude ; nous avons tout ...