1. Première séance


    Datte: 24/12/2017, Catégories: fépilée, fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme Oral jeu, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, initfh, fsoumisah,

    ... concentra d’abord ses efforts sur les lèvres intérieures, qu’il lécha avec application, désireux de bien goûter sa nouvelle partenaire de jeu. Il la trouvait délicieuse et en reprit donc un peu, alors qu’Élodie gémissait de plus en plus, tirant sur ses liens et resserrant les cuisses que Gilles la forçait à maintenir écartées. Lorsque Gilles eut bu tout son saoul du nectar de sa jeune soumise, il se recula un peu et souffla : — Élodie ? La jeune femme, prise dans son plaisir, ne semblait pas l’entendre. — Soumise ? insista-t-il.— Oui, maître ? Gilles sourit. Oui, décidemment, cette femme lui plaisait beaucoup. — Je t’interdis de jouir sans mon consentement. Quand tu sens que ça va venir, demande-moi la permission avant. Tu as compris ?— Oui, maître, répondit Élodie. Ravi, il décida alors de passer aux choses sérieuses. Il s’amusa avec son clitoris. Il l’enroula de sa langue et le suça doucement. Élodie décolla immédiatement. Ses cris se firent plus rapprochés, plus aigus, plus profonds. Son ventre se secoua de spasmes, d’abord doux, puis plus violents et enfin, elle explosa. Elle avait été incapable de prévoir l’explosion, ne l’ayant jamais ressenti. Gilles continua à jouer avec elle, se délectant de ses cris de plaisir. Elle serrait les cuisses mais Gilles ne cessait pas. Il voulait que l’orgasme de sa soumise dure encore. Il voulait qu’elle se souvienne de cette soirée, la première où elle avait connu le vrai plaisir sexuel physique. Il ne cessa pas lorsqu’elle lui murmura ...
    ... « Assez » mais uniquement lorsqu’il considéra que cela était suffisant. Elle se détendit à l’instant où il s’écarta mais les spasmes qui secouaient son corps, eux, ne cessèrent qu’après plusieurs minutes. Lorsqu’elle fut en mesure de parler, elle souffla : — Pardonnez-moi maître. Je… je ne l’ai pas vu venir. Gilles lui souriait mais Élodie ayant les yeux bandés, elle ne pouvait pas le savoir. En fait, il aurait été surpris qu’elle soit en mesure de lui demander l’autorisation avant de jouir mais il cherchait à tester sa manière d’agir après sa désobéissance. Ses excuses étaient un bon début. Il attendit, mais elle ne dit rien de plus. — Et ? dit-il, pour l’adjoindre à en dire davantage.— Euh… que voulez-vous que je dise à part que je suis sincèrement désolée, dit Élodie, visiblement perdue.— Tes regrets ne me suffisent pas, annonça-t-il d’une voix ferme mais gentille. Élodie enregistra la phrase mais ne comprit pas ce qu’il attendait d’elle. Il attendit un peu mais comme la jeune femme ne disait rien, il lança : — Penses-tu mériter une punition pour ta désobéissance ? Élodie fut totalement prise de court. Elle ne s’y attendait absolument pas. Elle réfléchit rapidement puis, ne voulant pas le décevoir, comprenant que cette question n’en était en fait pas une puisque n’amenant qu’une seule réponse acceptable, elle souffla : — Oui, maître.— La prochaine fois que tu penseras mériter une punition, je veux que tu me le dises toi-même, sans que j’ai besoin de demander.— C’était cela ...
«12...456...11»