1. Dans le noir (9)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... range à son choix. Il est forcément le meilleur gage de réussite puisque c’est elle qui… a décidé. — Je saisis bien ! De plus j’avoue qu’elle est belle… et ce que je vois me plait plus encore… — Je peux vous poser une question… indiscrète ? — … ? Posez-la toujours on verra bien. — Vous bandez pour elle ? Enfin, elle vous fait bander, tenez, regardez, cela vous donne envie ça ? Tu as tiré le drap complètement et je suis cette fois entièrement à la vue de Norbert. Je croise mes mains sur mes seins. Idiote que je suis puisque depuis le début de votre dialogue il les contemple sans vergogne. Et il a bien entendu une autre vision de moi. Il doit bien avoir les quinquets rivés sur ma chatte qui est aussi visible qu’un nez au milieu d’une figure. Et du reste il ne parle plus. Mais ce qui se passe ensuite… c’est du grand délire. Tu repousses l’ordinateur sans pour autant couper Skype. Et tu commences sous les regards du type à me caresser. Mais ce que tu tripotes, c’est mon sexe qui frémit de cette arrivée et surtout mon corps qui réagit à cette situation hors norme. Lentement je te laisse faire et quand tu me présentes ta queue à sucer, je fais comme si nous étions seuls au monde. Mais par le biais de l’écran, je sais, je vois que le mec chez lui a bien compris le message. Il a sorti de son pantalon une trique qui me paraît démesurée. Et je te taille une pipe alors que sur l’écran un mec se branle devant le spectacle de salope que je dois lui offrir. Puis c’est avec l’œil de la ...
    ... caméra derrière nous que tu m’enfiles en levrette. Je jouis de plus en plus fort, de plus en plus violemment. Je ne me préoccupe plus de savoir s’il suit toujours nos ébats, je subis tes coups de reins et je râle. Mes gémissements sont ponctués par les claquements de ton ventre contre mes fesses… Quand c’est fini, je suis alanguie sur le plumard et tu reprends ta conversation avec Norbert, comme si elle ne s’était jamais interrompue. Mes oreilles ramassent les miettes de ces mots que vous échangez et je dois être rouge comme une pivoine. — Le spectacle t’a plu ? On compte sur toi samedi soir. Pour vingt heures ? — Oui ! Vous êtes beaux, tous les deux… oui, oui je serai là pour vingt heures. J’amènerai le champagne ! Et je ne sais pas lequel des deux coupe le premier. Mais notre écran redevient noir, puis tu refermes le capot du PC et tu reviens te caler contre moi. Je suis lessivée et le sommeil me gagne déjà. Alors ai-je bien oui ou était-ce un rêve, mais il me semble bien comprendre quelques murmures remontés du fond de ta gorge… — Je t’aime ! Tu es ma merveilleuse petite femme ! — oooOOooo — La semaine, je l’ai trouvé presque trop courte. J’imagine déjà le regard de Norbert encore bien inconnu qui ce soir va venir diner. Si j’avais le choix, je ne l’inviterais plus. Mais toi, tu sembles heureux comme un gamin qui a découvert un nouveau jouet. J’ai bien peur que ce jouet ce soit… moi ! Et mes reins s’en souviennent. Il ne s’est pas passé une soirée sans que nous ne fassions ...
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