1. La vérité est ailleurs... (1)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Zoophilie,

    « Cinq heures du mat , j’ai des frissons… Je claque des dents et je monte le son… » Je me lève, ma femme est endormie, tournée vers son coté à elle. Je vais prendre un verre d’eau. Encore ces maudits cauchemars…ça a l’air diablement réel, comme si j’étais le spectateur direct… des scènes… et quelles scènes ! Le mot diablement, qui m’est parvenu tout de suite à l’esprit, me semble le plus approprié. Parce que ces cauchemars... mon Dieu ! Enfin cela tient du cauchemar et du rêve pornographique XXL ! Tiens je devrais les écrire et vendre les scénarios à Marc Dorcel. Non, même pas, c’est trop hard, même pour lui. Je vais changer de caleçon, je me suis encore souillé. Depuis un mois j’ai une éjaculation nocturne non contrôlée par nuit. Enfin certaines nuits. Deux fois par semaine plus précisément. A nouveau propre, je vais sur le balcon, boire une bière bien fraiche et me fumer une cigarette… Et je repense au cauchemar. Ça commence toujours de la même façon, d’abord un sentiment de malaise, l’impression d’être entre rêve et réalité, dans un demi-sommeil. Et « ils » arrivent. Je les appelle « les visiteurs ». Ils sont bientôt tout autour de notre lit. Je ne peux clairement dire qui ils sont, ni les « voir », mais ce que je sais c’est qu’ils me foutent une trouille du tonnerre. Une angoisse sans pareille. Un sentiment d’être à leur merci, de ne pouvoir bouger, ni les regarder en face. D’ailleurs en ai-je envie ? Pas vraiment. Mon instinct me dit que je ne DOIS sous aucun ...
    ... prétexte les regarder…mon esprit n’y résisterait pas. Alors j’ai envie de hurler, de fuir, loin, loin…de m’enfoncer dans le sol. Ne plus rester là... Mais non je n’en bouge pas. Je laisse faire. Parce qu’en définitif ce n’est pas après moi qu’ils en ont …oh non ! C’est ma femme Cécile qui les intéresse. Ils la « lèvent » de son lit, elle est inconsciente ou plutôt non, ses yeux sont ouverts et elle semble « sous l’emprise », complétement passive et consentante à ce qui va lui arriver. D’ailleurs ils ne la touchent même pas, une fois qu’elle s’est levée de son plein gré. Elle dégage les bretelles de sa nuisette ; la laisse tomber sur le sol et nue, dans sa merveilleuse nudité, elle les suit. Grand trou noir…de combien de temps, impossible à dire. En tout cas, la suite à chaque fois est d’un tout autre style. Cécile se trouve sur une table, enfin table n’est pas le terme exact puisque il n’y a pas de pieds ! Il serait plus avisé de dire une plaque d’acier brillant, d’aspect clinique, qui flotte à 50 centimètres au-dessus du sol ! C’est délirant les rêves quand même ! Des « ombres », les mêmes personnages qui étaient autour de notre lit s’affairent à quelques mystérieuses opérations sur elle, avec calme et professionnalisme. Le problème c’est que je ne parviens pas à discerner leur aspect, même si pour le coup, je les « vois ». On dirait que mon cerveau est incapable de comprendre à quoi il a affaire. Très singulier. Puis ma femme se relève d’elle-même, comme obéissant à un ordre ...
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