1. La vérité est ailleurs... (1)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... orgasme. Puis la langue vient caresser les grandes lèvres de bas en haut et de haut en bas, pour venir enfin pénétrer la vulve ouverte. Je sens les rapides pénétrations de cette langue, qui donnent un plaisir inouï à ma femme. Elle jouit presque sans discontinuer. Puis la tête du serpent se retire lentement, frustrant un peu Cécile de la suite de son plaisir. Et revient prendre une position dominante au-dessus de Cécile. En attente… Cécile se place alors accroupie, comme si elle allait uriner, et le serpent se déploie à nouveau vers le pubis de ma femme, mais sa tête passe sous son sexe, en effleurant avec sensualité sa vulve. Cécile se laisse alors guider par le passage du corps du serpent, qui la masturbe, en relevant légèrement son bassin lorsque les plus gros anneaux lui passent en dessous. Après le passage des 4 mètres du serpent, en contact intime avec ses lèvres, et cette séance de masturbation, Cécile jouit de nouveau. Vaincue par le plaisir elle s’allonge nonchalamment sur le dos, cuisses écartées. Le serpent toujours au-dessus d’elle à l’observer, semble attendre le moindre « ordre » de sa proie… Cécile reprenant ses esprit, resserre à nouveau les cuisses, qu’elle maintient le plus possible soudées, pour empêcher tout nouveau « viol » de son intimité par l’animal. Elle relève alors la tête vers son « tortionnaire ophidien », et lui tire la langue en signe de provocation. L’animal semblant saisi d’une rage folle, fait alors un tour complet autour de ma femme ...
    ... allongée, et de l’extrémité de sa queue, il s’enroule autour de la cheville gauche, puis de la droite et bandant ses muscles, tend la partie de ses anneaux enserrant les deux chevilles. Cécile, poussant un grand cri de consternation, se trouve écartelée violemment, avec de nouveau son sexe à la merci de l’animal. Cette fois-ci, la tête ne considérant aucune attention sensuelle, pénètre violemment la vulve ouverte et s’enfonce de 20 centimètres dans le vagin de Cécile. Celle-ci ouvre les yeux de terreur, crie et semble chercher l’air. Puis la tête se retirant et pratiquant un mouvement de va et vient, « baise » littéralement mon épouse, de façon violente mais terriblement efficace, si j’en juge par les cris de jouissances qu’elle exhale. Après 5 minutes de ce traitement, Cécile voit son ventre se crisper, son bassin se cambrer, et poussant un grand hurlement elle jouit de nouveau ; un orgasme terriblement puissant prend possession de son corps, et la laisse une fois de plus épuisée, couchée sur le sol métallique. La tête émergeant du con humide, retrouve alors ses dimensions naturelles, s’étant auparavant, et de façon « impossible », réduite à la taille d’un poing… Le serpent qui attendait son heure, saisit alors ma femme par les chevilles, de l’extrémité de sa queue et la soulève du sol comme un fétu de paille. Il lui re-ouvre le compas de ses jambes, et pendant 10 bonnes minutes passe sa langue inquisitrice de la vulve « martyrisée», au petit trou d’amour, son intromission se ...