1. 40 ans, lesbienne.


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    A 40 ans, la vie est terne si on vit seule. C'est mon cas. Avant quand j'étais plus jeune je pouvais facilement trouver des amitiés masculines ou souvent féminines. Je dois revenir loin en arrière. J'avais à peine 14 ans quand avec une copine nous nous masturbions ensemble. Elle venait souvent passer la nuit chez moi. Nous couchions ensemble, comme nous bavardions souvent c'était le seul moyen que ma mère avait trouvé pour nous faire taire. C'est comme ça qu'un soir au lieu de nous branler, nous sommes passées à des caresses buccales plus précises. Nous aimions beaucoup nous faire du bien avec nos langues. Ce n'est que plus tard que je me suis faite dépucelée: je n'en retiens rien de bien glorieux, mis à part le fait que je devenais femme. Le reste de ma vie sexuelle se déroulait avec mes doigts. J'aimais et j'aime toujours la masturbation. Mon mari parti, tant mieux, je me trouvais libre comme l'air. A 40 berges comment arriver à trouver une âme sœur ? J'aide une organisation caritative depuis quelques mois. Je sympathise beaucoup avec certaines de mes camarades. J'y trouve finalement des amies aimables, amusantes souvent. C'est une autre page de ma vie qui s'ouvre, non seulement je fais des bonnes actions, mais ne plus j'en retire du plaisir. L'une de nous propose un jour que nous fassions un repas pour fêter l'arrivée d'un de nos chez lui . Bien sur le repas s'anime, les conversations ou papotages se transforme petit à petit en confidences plutôt personnelles. Chacune ...
    ... raconte sa vie privée, sans aucune pudeur: c'est la règle. A peu près tout les domaines de la sexualité sont abordés et souvent décrits avec détails. Je raconte mes aventures sans rien cacher. Je pensais être la seule qui avait déjà baiser avec une autre fille: nous étions 2 en tout. C'est-ce qui nous a rapproché. Nous avions l'expérience et du corps féminin et de celui des hommes. Nous sommes parties ensemble en discutant et approfondissant nos envies. C'est aussi que je suis crois que je suis redevenue lesbienne à la quarantaine. Le soir en me déshabillant je me regarde en détail dans la glace: je ne suis pas déformée, à peine un ou deux kilos en plus, mes seins tiennent bien le coup. Bref j'étais encore en état de me montrer nue. Je me donne envie. Avoir envie de soi est rare: si j'avais été une autre femme je me serais fait l'amour immédiatement. Je me couche nue, écarte mes jambes, passe mes mains sur mes seins, pour les caresser: j'ai les tétons exultés qu'ils bandent. Je me passe la main sur le ventre. Je la glisse entre mes jambes. Je ne cherche même plus la place de mon bouton: j'y vais directement. L'indes et le majeur réunis passent et repassent sur mon clitoris. Je suis entièrement trempée. Je sens ma cyprine couler jusque entre mes fesses. Mon drap va être entièrement mouillé. Je jouis une fois. Je laisse mes doigts là où ils sont. Je me fais jouir encore. Cette fois je pose ma main entière sur le sexe comme pour bien garder en moi le plaisir de l'orgasme. Le ...
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