1. 40 ans, lesbienne.


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... son corps. Nous échangeons nos chaleurs avant de nous sucer. Cette fois, elle m'enjambe pour venir à hauteur de mon sexe. J'ai le sien juste à hauteur de ma bouche. Je lui écarte les cuisses, y loge ma tête pour finalement lui remettre la langue sur son cul. Elle se laisse faire, emportée par le désir elle me prend le clitoris dans ses lèvres. Nous sommes bien ensemble à nous faire jouir. Nous n'en sommes pas lassées un seul instant. Nos jouissances sont presque simultanées. Nous ne cessons qu'un moment, pour aller manger un quelque chose, n'importe quoi. Nous allons faire notre repas nues. Le repas devient une autre façon de baiser. Je suis assise à table quand elle me demande de reculer ma chaise: elle vient s'asseoir sur la table pour donner à manger un autre mets: son sexe. Elle est penchée en arrière, les mains posées sur la table: elle ne pense qu'à son plaisir. Je lui déguste la moule plusieurs fois. Elle jouit. Je lui doigte le vagin d'abord et l'anus ensuite. Elle ne sait dure qu'une ou deux chose: - Oui, oui c'est bon, encore, je jouis. - Tu me le feras tout à l'heure encore ? - Oui, si tu me le fais aussi. Nous en sommes à nous rendre caresses contre caresses. C'est ...
    ... délicieusement érotique, surtout quand elle me demande d'aller prendre une douche pour laver "toutes ses jouissances". J'y vais avec elle. En effet nous nous lavons de ce qu'elle veux, en tout cas non sexes eux ne peuvent qu'être propres après les litres d'eau chaudes qu'ils on reçus et des orgasmes qu'ils nous ont donnés. Elle prend un gant de toilette, le mouille sous le jet écarte bien les jambes et lentement avec les une main elle le rentre dans son con en entier en écartant ses lèvres avec l’autre main. Pour jouir, elle donne quelques coups rapides avec un seul doigt sans appuyer. Je la vois jouir ainsi. Je lui demande de me le faire: elle refuse: c'est moi seule qui doit le faire, devant elle qui me guidera en cas de besoin. Je l'imite. Je ressens un plaisir très différent que celui d'une bite qui entre dans un con. C'est plus complet. Une fois tout rentré je fais comme elle: à petits coups répétés. Je jouis en gardant le gant dans mon intérieur. Je suis prête à recommencer de suite. Pourtant nous nous arrêtons par sagesse: il faut en garder pour le lendemain. Le lendemain et les jours suivants nous baisons ensemble. Toutefois je me sert de gant de toilette plus souvent qu'avant. 
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