L'horoscope (2)
Datte: 25/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... lui fait le plus envie, d’une bonne grosse guiche raide ! À quel moment ta main a-t-elle quitté la mienne ? Aucune idée, je ne m’en suis pas aperçue ! Mais quand le loup me remet le gros cornichon dans le con, je me trémousse d’aise, c’est moi qui rue comme une nymphomane, sur cette chose qui me dilate exagérément les parois intimes. Les hommes autour de moi se mettent à frapper dans leurs mains et ils entament un chant ! Une vraie chanson que je ne connais pas ? Comme psalmodiant, ils battent en mesure la cadence de mes ruades ! Et dans cette folie qui nous gagne tous, la peau de mes fesses devient celle d’un tambour ! Des mains viennent battre le cuir de celle-ci rythmant les applaudissements, marquant la mesure de la prière chantée devant l’autel improvisé, sur lequel je suis la sacrifiée du moment ! Enfin tout se calme et après cette phénoménale jouissance qui m’a emportée, des mains, des tas de bras m’ont porté, juste pour me retourner. Je suis mise bien à plat, sur le dos, les bras étendus le long du corps. J’ai les yeux ouverts et j’assiste à la masturbation générale. Une forêt de sexes bruns, noirs et quelques un blancs, sont branlés au-dessus de mon corps. Les premières gouttes de sève me touchent au niveau d’un sein ! Ensuite, c’est un déchainement de foutre qui englue mon corps à l’exception de mon visage, de ma tête. Un a un, voire plusieurs simultanément, tous se vident de cette semence qui atterrit sur moi. Je suis maculée de cette marée blanche que des mains, ...
... et celles-là je les reconnais, étendent partout sur moi, comme pour m’en faire un bain qui me colle à la peau. C’est toi, Michel qui finit par enduire mon ventre, ma poitrine, enfin toutes les parties qui sont visibles, à partir du cou. Ensuite, vous me laissez là, sans broncher, et les occupants des lieux restent tous à me regarder, mais plus personne ne parle, plus personne ne me touche. Remise sur mes pieds, n’ayant de nouveau pour tout vêtement que la cape avec laquelle je suis arrivée, me voici ramenée vers la camionnette. Une haie d’hommes me fait une escorte jusqu’à la porte et chacun d’entre eux, me dépose un baiser sur le front, en guise de remerciement. La soirée se termine chez ce Dominique, mais lui ne me fait plus rien, et je peux avec délectation, prendre une douche qui élimine autant sur mon corps que dans mon esprit, toutes les salissures que vous avez pu y déposer. C’est ensuite l’heure du retour, sans un mot, mortifiée sur mon siège, je ne dis mot. Toi et moi, nous évitons de parler, gêner sans doute par ce qui est arrivé, peur d’affronter les regards de l’autre, du moins en ce qui me concerne. Je me dis que je suis une fieffée salope et que tu viens de révéler la cochonne qui sommeille en moi. Quand rompant le silence, tu me demandes : — Tu veux que nous en parlions, de ce qui vient de se passer ce soir ? Je suis fier de toi ma petite caille ! J’ai adoré te voir jouir ainsi, j’aime que tu sois soumise et j’espère bien que nous continuerons ce genre de petits ...