1. L'horoscope (2)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ça ! Que soudain, tu viennes ainsi me caresser les doigts ! Est-ce que cela signifie que je dois m’attendre au pire ? Merde ! Que se passe-t-il ? Contre mon anus, je sens quelque chose de dur ? Ce n’est pas un sexe, j’en suis sûre ! L’engin qui est contre mon œillet s’emploie à pénétrer le petit trou. Une pression constante sur les muscles de ce dernier, et ils cèdent sous l’assaut de je ne sais quoi ! L’impression que l’on m’arrache le cul, que je suis blessée et mon cri éclate dans cette pièce où tous regardent ce qui m’arrive. Le truc que le loup m’enfile est énorme, il me dilate lentement le canal étroit et je n’ai pas d’autre choix que de hurler encore plus fort. Mais mon souffle est coupé par l’entrée, centimètre par centimètre dans mon fion de quelque chose qui me dilate comme je ne l’ai jamais été. Et en plus, il me semble que cette pénétration n’en finit plus, qu’elle ne s’arrêtera jamais. Mais je ne suis pas encore au bout de mes peines. Si ce qui m’entre dans le trou du cul est long, cela ne semble pas suffisant à ce con qui m’encule avec un gode ou autre chose ! Il ne bouge plus, arrivé au fond, ou simple pause ? Je sais rapidement pourquoi il a stoppé son élan ! Dans ma chatte encore ouverte par toutes les pénétrations des hommes présents, il vient aussi de commencer à faire entrer un truc. Celui-là est aussi gros que ce que j’ai dans les fesses. Mais là c’est plus élastique, moins serré ! Et en bougeant ma tête, je peux enfin me rendre compte qu’il m’enfonce ...
    ... tranquillement un énorme concombre dans la foufoune. Ce légume est gainé par du latex, une capote qui est totalement distendue par le diamètre de la cucurbitacée. Voilà, je suis farcie par deux légumes et toi, tu me tiens par la main. Cela ne m’empêche nullement de hurler à la mort dès qu’il débute des mouvements, surtout avec celui qui est dans mon fondement. Puis petit à petit, la douleur est remplacée par une certaine douceur. Celle-ci fait place ensuite à une chaleur bienveillante et je suis de plus en plus humide. Autour de la table de part et d’autre de mon corps, des dizaines de mecs nus se branlent. Cette image me fait réagir et mon ventre explose sous l’envie qui l’étreint. Je ne suis plus rien d’autre qu’une salope qui se vautre dans la luxure et la jouissance. Dominique arrête les mouvements du concombre dans mon cul, mais c’est pour mieux mettre l’accent sur ceux de ma chatte. Je pars vers une jouissance abyssale, je ne peux plus contrôler ce corps qui frémit de partout et soudain, l’autre arrache l’objet qui me donne ce bonheur. Le vide, cette sensation d’abandon, cet arrachement, cette frustration en plein milieu de mon envie, me fait hurler de désespoir. Il est monstrueux ! Il est sadique ! Ce n’est pas que de désirs que je me tords, mes mouvements sont tous axés vers ce besoin d’être possédée, d’être prise ! Je veux de la queue, de la bite, j’en ai besoin, c’est presque vital même ! Les cris, les grognements que je pousse sont ceux d’une salope privée de ce qui ...