1. Chroniques immortelles - Le voleur de feu. (3)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,

    ... sorcière ! Lance Christelle. Tu es un mélange de Wolverine, Mystique, Tornade et du professeur X. Tu ferais un malheur chez les X-men. OK, je vais m’embusquer. Mais si un de ces types a de mauvaises intentions, je lui fait sauter la cervelle ! Elle disparaît rapidement. Je l’entends prendre des affaires dans notre voiture, probablement ses armes... Brrr... Fadila me regarde avec inquiétude. — Ça pourrait être dangereux Christine. Ils me connaissent, mais je ne sais pas comment ils vont réagir en te voyant. — Si ça tourne mal, je prendrai le contrôle de leur esprit. Et je fais confiance à Christelle. A partir de maintenant, appelle moi Leila. Dis-moi plutôt, qu’est-ce qu’ils te veulent ? — Me baiser... Le temps manque. Impossible d’en savoir plus. Nous mettons rapidement mon personnage à jour. Je suis sa cousine, j’habite à Marrakech, nos mères étaient sœurs et je suis venue quelques jours voir ma cousine dans son village natal a l’occasion de mes vacances. Nous prenons l’attitude tranquille de deux filles en conversation banale. Et le 4x4, un gros Hummer s’arrête à coté de la maison. Les trois hommes sautent à terre. Deux d’entre eux semblent berbères ou arabes. Le troisième est de type européen. Ils sont armés de kalachnikovs. Ça promet. Ma présence les surprend. — Who is this bitch ? Lance l’occidental avec un fort accent américain a l’adresse de Fadila. — Qui est-elle ? Répète l’un des deux nord-africain en tamazight à l’adresse de Fadila. — Je... je m’appelle Leila, ...
    ... dis-je dans la même langue. On est cousine... J’ai volontairement pris un ton inquiet, timide. J’ai la mine apeurée devant l’arrivée de ces trois hommes. Et ceux-ci sont surpris de voir que je parle couramment leur langue. Ça les rassure, ils se détendent. — C’est la fille de ma tante qui vit à Marrakech. Elle est en vacances. Elle est marocaine. Les trois hommes se concertent du regard. « L’américain » me lance un sourire narquois. Manifestement, il goutterait volontiers à la petite berbère. Mais l’un des marocains intervient. Je l’entends lui dire « Laisse tomber. On ne touche pas à nos compatriotes, c’est la consigne ». Alors Fadila se penche vers moi. — Tout va bien... Leila, pas de problème. Attends moi ici, j’ai... à faire avec ces messieurs. Ce ne sera pas long. Les trois hommes suivent Fadila dans la maison. L’américain me lance un dernier regard enjôleur en se léchant les lèvres. « Me baiser » a dit Fadila. Pas la peine de se demander ce qu’il va se passer. J’ai forcé mon ouïe et j’entends tout ce qui se passe à l’intérieur. Allez désape toi petite pute, à genoux, vient me sucer ! J’adore ses nichons et son petit cul. Attends, je veux la fourrer tout de suite. Han ! Allez toi, lèche moi le cul. Oh quelle salope ! Plus on lui en met, et plus elle en veux ! Dommage que l’autre petite pute soit restée dehors, je lui exploserai volontiers son trou de balle ! Allez, vas-y bouge sur ma bitte. Viens l’enculer ! J’en ai des frissons... D’une part ces salauds m’excitent ! Mais ...
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