1. Claire et nous (1)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Michel J’appuie sur le bouton de l’ascenseur dès que j’entre dans celui-ci. Les portes commencent à se refermer et soudain jaillit, comme de nulle part une merveilleuse fille blonde. Elle est essoufflée et j’entends sa respiration courte qui s’apaise doucement alors qu’elle prend place à mes côtés. Je regarde à la dérobée ce joli brin de femme. Sa jupe blanche lui va à ravir et un petit chandail assorti lui donne un air de collégienne mal assurée. Petit à petit, alors que nous grimpons vers le septième étage, je sens bien qu’elle a vu que je la reluquais. Pourtant, je le fais d’une manière discrète, mais je suis certain qu’elle le sent. Je vois ces joues qui s’empourprent et je détourne mon regard. Nous sommes au cinquième et la porte s’ouvre de nouveau, elle se pousse un peu pour laisser de la place à une grosse dame. Pour ce faire, elle s’est mise de côté et elle me tourne le dos. J’admire une cambrure qui me fait frissonner. Elle a des jambes magnifiques et son petit cul danse devant mes yeux. Pour le décrire, je dirais qu’il ressort un peu à la manière des culs des noires, ce qui m’a toujours fait fantasmer. Vus de l’arrière, ses cheveux se montrent comme ils sont. Chevelure mi-longue, légèrement ondulée, elle lui arrive au bas des épaules. Je ne décèle aucune trace de culotte ou de string sous la jupe, enfin aucune marque qui me permette de savoir si elle porte un quelconque sous-vêtement. Du moins pour le bas, parce que je suis sûr qu’elle n’a aucun soutien-gorge et ...
    ... pourtant ces petits seins hauts perchés, ont l’air fiers et fermes. J’en suis là de mes supputations lorsque le voyant de mon étage s’allume et presque à regret, je dois sortir, pour me rendre dans le bureau de mon client. J’aurais bien fait un petit brin de causette, voire de cour à cette belle femme qui ne doit guère afficher plus d’une trentaine d’années au calendrier de la vie. Bon et bien tant pis, je suis dans le couloir qui mène chez mon client et il me faut oublier. J’entre dans le bureau et la secrétaire me fait rapidement pénétrer chez son boss. Notre entrevue ne dure guère plus d’une heure et c’est déjà l’heure du déjeuner. Je prends congé de mon client et je remonte dans l’ascenseur qui, dès que la porte se referme, me rappelle la fille lors de mon arrivée. Dans la rue, je cherche un restaurant pour attendre l’heure de mon prochain rendez-vous qui doit avoir lieu dans le même quartier à quatorze heures trente. En voici un qui me semble bien. Un coup d’œil rapide sur la carte et je suis dans l’établissement. Je prends mon temps, le bar me tend les bras et j’en profite pour commander un apéritif, je songe de nouveau à cette belle créature de l’ascenseur. J’en ai presque une érection, rien que de repenser à son joli derrière. Alors que le garçon me sert mon « Ricard », mon attention se porte vers l’entrée du restaurant. Je n’en crois pas mes yeux, dans l’encadrement de la porte, la belle blondinette s’y trouve. Elle jette un regard circulaire sur l’ensemble des gens ...
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