Claire et nous (1)
Datte: 26/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... je sais rapidement une partie importante de sa vie. Elle est âgée de vingt-huit ans, elle travaille pour un fabricant de produits féminins, mais sans s’étendre plus sur le genre de produits. Comme je sens le regard des personnes autour de nous, je l’invite à déjeuner en ma compagnie et sans sourciller, elle accepte volontiers. La table, sans être exceptionnelle, est tout de même correcte et nous parlons de choses et d’autres. Claire est charmante, rit pour la moindre blague, mais un rire de bon aloi, qui résonne bien aux oreilles. Nous en venons à parler de nous et sans rien cacher, je lui dis que je suis marié et que mon épouse est formidable. J’apprends qu’elle vient juste de rompre avec un petit ami qui n’était jamais présent pour elle et surtout d’une jalousie maladive. Alors, en quelques mots, je lui explique que Claude et moi sommes très amoureux l’un de l’autre depuis des années, mais que nous avons des mœurs plutôt libérales en matière de sexe et que nous pratiquons un libertinage doux et tendre. Ensuite, j’ai droit à une avalanche de questions, elle semble très intéressée par le sujet. Je m’efforce de répondre le plus clairement possible à cette demande qui me surprend. Et, arrive un moment auquel je ne m’attendais pas du tout. — C’est bien beau ce que vous me racontez, mais les hommes sont tellement menteurs que j’ai beaucoup de peine à vous croire. Piqué dans ma fierté de mâle, je sors mon téléphone et je compose le numéro de Claude. — Allo, ma chérie, tu vas ...
... bien ? Je déjeune avec une charmante demoiselle qui aimerait te parler !! Et je tends l’appareil à Claire qui me regarde, les yeux comme des billes. Je me lève et pendant que les deux femmes se disent je ne sais quoi, je me rends aux toilettes. À mon retour, le téléphone est sagement remis devant mon assiette et la jeune femme arbore un large sourire. Claude Michel est parti depuis ce matin et je vaque à des occupations plutôt terre à terre. Changer les draps du lit, un brin de ménage, d’autres choses de femme en quelque sorte. Je voulais faire aussi les vitres de la véranda, mais le soleil ne me le permet pas. Ensuite, je vais en courses, je veux un bon dîner pour ce soir, pour qu’il soit heureux. Depuis que nous sommes ensemble, il a tout fait pour que je sois bien. Un joli chalet, des amis fidèles et puis cette complicité de tous les instants, celle qui nous unit bien plus fort que tout. Je vais chez notre petit poissonnier et je sais d’avance ce qui va lui faire un immense plaisir. Deux belles douzaines d’huîtres, quelques crevettes, des langoustines, un superbe crabe, des bulots et quelques moules d’Espagne, auxquels s’ajoutent des praires, une poignée de bigorneaux. Le vendeur me donne un gros sac de glace pilée et deux beaux citrons. Me voilà parée pour un festin que mon Michel va sûrement apprécier. Maintenant direction la maison, où là, je jette les fruits de mer crus dans de l’eau bouillante salée et je confectionne le plateau de ces merveilles dont nous raffolons. Je ...