Claire et nous (1)
Datte: 26/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... l’impression qu’elle sait toujours par avance ce qui va me faire plaisir. Pendant que nous dînons tous les trois, les filles rient aux éclats, le vin aide sans doute à détendre l’atmosphère. Moi aussi, je me suis détendu et j’en arrive à pratiquement oublier que je suis presque nu. Le dîner s’achève par des rires et des mots très gentils entre mes deux compagnes de soirée. Et, alors que le café est servi, que je déguste presque avec extase un vieux bourbon, je pose la question qui me vient à l’esprit à Claire. — Alors, tu nous dis enfin ce que tu vends ? Elle éclate de rire et comme Claude et elle ont fini de desservir la table, elle se dirige vers son véhicule. Je vois que sa démarche est mal assurée, qu’elle ne va plus très droit. Claude et moi échangeons un sourire complice et je suis certain que dans sa tête, trottent les mêmes idées que dans mon crâne. C’est les bras chargés d’une mystérieuse valise que Claire réapparaît devant nous. Sur la table vide, elle ouvre son coffre à trésors et nos regards se figent sur les incroyables objets que celui-ci contient. Cette fille transporte avec elle un véritable sex-shop. Il y a de tout, des queues en caoutchouc de toutes les tailles, des godes ceintures, des ventouses, des poids, un imbroglio invraisemblable d’articles sexuels. — Voici… ce que je vends, des articles pour couples et femmes seules, et je peux vous assurer que tout ceci se vend très bien, surtout lors des démonstrations privées que je suis chargée de réaliser pour ...
... le compte de ma boite. Nous aimerions lui poser mille et une questions, mais elle est lancée sur son laïus publicitaire et l’arrêter ne nous parait plus guère possible. Elle vante les mérites de tel ou tel olisbos en jouant avec, elle déballe des crèmes et autres gels, tous sensés apporter un peu de sang neuf aux couples fatigués. Alors que Claude et moi regardons avec des yeux ronds les éléments d’un autre plaisir qu’elle nous met littéralement sous le nez, elle prend un sexe de latex noir, long et épais, le flanque dans la main de Claude. — Regarde, sens comme il fait vrai dans la main, n’est-ce pas qu’il a l’air vivant ? Tu crois que Michel peut rester dur aussi longtemps que celui-là ? Elle éclate de rire en voyant la moue presque désabusée que je fais et par jeu, elle accroche de ses doigts le nœud qui retient la serviette. L’effet est instantané, le drap de bain s’écroule à mes pieds et je suis dans le plus simple appareil, sous les regards des deux femmes. Je vois passer dans l’œil de Claude une lueur, un message que je connais bien, je sais qu’elle a envie, de moi ? Ou de la bite qu’elle tient dans la main ? Quant à Claire, elle ne sourit plus, en constatant que ma queue à moi monte fièrement vers le ciel obscurci par la nuit, mais que celle-ci n’a rien à envier au pénis factice qu’elle a donné à mon épouse. Elle ne sait plus trop quelle attitude adopter. Claude Nous dînons tous les trois et nos rires à Claire et moi éclatent dans ce début de nuit. Tu as un peu de mal ...