Claire et nous (1)
Datte: 26/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... cœur de vos féminités. Les baisers qui sont échangés sont maintenant beaucoup moins chastes et j’imagine vos bouches butinant les Fleurs du mal. Elle et toi, vous recueillez le miel de cet endroit si cher à nos âmes d’hommes. Je bave un peu d’attendre que vous daigniez penser que je suis encore présent. Mais le spectacle de vos deux corps se donnant du plaisir me fait vibrer. Malgré mon impatience, je reste à regarder, doux supplice que celui de vous savoir chaudes à souhait et juste consommées par l’autre… Mon dieu, comme tu es belle ma femme, dans tes amours saphiques, dans ce lesbianisme primaire qui me trouble et me ravit. Je vois vos langues qui entrent et sortent d’endroits que je voudrais explorer, de replis qui vous font gémir. Tu es la première, ma Claude bien-aimée, à hurler de plaisir, ruant comme une pouliche sous les attouchements d’une Claire en folie. Ta tête qui part à droite et à gauche donne le « la » à cette jouissance qui monte en toi, alors que la nuit est bien ancrée tout autour de la maison. Les sons sont portés bien plus fortement par cette voûte étoilée et quand c’est au tour de Claire de laisser aller ses envies s’exprimer, c’est la nuit qui semble s’embraser et rapporter en écho les plaintes de bonheur de la jeune demoiselle. Moi, je regarde cela avec une érection de plus en plus conséquente, avec aussi un besoin grandissant de venir au-devant de vous deux. Claire s’est remise à genoux, alors qu’elle te chevauche depuis un long moment. Je vois vos ...
... deux cuisses qui se frottent les unes contre les autres et j’imagine que vos abricots glissent l’un sur l’autre, émoustillants de cette manière, vos clitoris tendus par l’envie. Elle s’est emparée d’une main d’un gode-ceinture et très rapidement, je la vois se harnacher de cet engin qui pointe vers le ciel, alors qu’une longue partie est entrée en elle. Elle se recouche sur toi et je sais que d’un seul coup de reins, elle vient de planter dans ta chatte, la longue tige de latex. Tu halètes littéralement et moi, je suffoque d’envie. Alors que dans la nuit vos gémissements étendent leurs ailes de désirs, je n’y tiens plus. Claude Claire continue et nous tombons toutes les deux dans la nacelle de la balancelle. Maintenant, nous sommes comme seules au monde, bien que tu sois toi « voyeur ». Elle m’a ouvert les cuisses et déjà ses doigts fouillent tout mon corps, elle recherche les points qui sont sensibles. Elle a les mains douces et sait exactement où elle doit les faire passer pour que je ne maitrise plus mon corps. Comme la position qu’elle adopte amène presque naturellement sa fleur au niveau de ma bouche, il arrive ce qui doit arriver. Je suis submergée par des émotions contradictoires et finalement, me lâche complètement. Moi aussi, je glisse mes mains entre les cuisses lisses de la femelle en rut qui se rue sur moi. Ma langue court sur les parties tendres de l’intérieur de la fourche de Claire. Puis, elle entre en contact avec le minou qui n’attend que cela. Les deux lèvres ...