Claire et nous (1)
Datte: 26/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... roulent sur nos corps comme autant de tendres ors et les filles posent leurs lèvres sur moi comme pour me déguster. La douche est à nouveau le prélude à des instants magiques, pour des mains qui palpent tout, qui touchent ce qui passe à leur portée. Pour finir, les serviettes viennent parachever les attouchements et nous sommes encore une fois tous les trois en état de fébrilité sexuelle extrême. Et chez moi, ça se voit, personne ne peut en douter, alors que c’est dans les yeux brillants des deux femmes que ce ressent cette envie latente. Claude et claire s’embrassent, bouquet de brune et de blonde aux chevelures mélangées, et à la toison luxuriante et blonde, pour notre invitée, alors que la petite touffe de mon épouse reste d’un brun visible. Je regarde à nouveau ce ballet de mains qui papillonnent de l’une à l’autre, de l’une sur l’autre et mon érection est aussi visible qu’un nez au milieu d’une figure. C’est aussi tendrement que les deux femmes se caressent partout, des gémissements m’entourent et il me semble que je perds un peu le sens des réalités. La première a crié grâce, c’est toi ma Claude et tu me réclames un verre. De la cave, je remonte une bouteille de champagne et j’ouvre celle-ci alors que Claire te tient la main. Elle a posé sa petite frimousse en travers de tes genoux alors que tu es allongée sur le canapé. Le champagne pétille dans vos verres et un peu du breuvage des dieux, coule sur ton ventre, aussitôt lapé par notre invitée qui rit aux éclats en ...
... parcourant ta peau d’une langue de chat. La nuit suit son cours et je suis finalement un homme heureux d’avoir ainsi à disposition deux muses ravissantes. Claude La douche, c’est toujours magique pour moi. Surtout que maintenant, nous y sommes tous les trois. Elle nous coule en gouttelettes douces, elle dégouline de partout et j’en profite pour glisser mes mains sur les deux corps qui sont si proches de moi. Nous sommes sortis de la salle de bains et nous recommençons des caresses Claire et moi. Elles sont de plus en plus précises et je suis la cible de toutes ses attentions, elle tire de mon être les plus merveilleux des sons. Mes plaintes emplissent le salon, je n’en peux plus d’être sollicitée de la sorte. Mon ventre monte et se creuse, me plongeant dans les affres du stupre le plus cher à mon cœur. Je crie, je geins, je hurle, je roule dans tous les sens. Michel ne s’est pas immiscé dans notre corps à corps, il s’est juste installé, sa bite tendue, pour nous regarder. Elle est redevenue énorme de bander dans une excitation quasi permanente et elle me fait envie. Comme je voudrais que tu me finisses en douceur, juste en me plongeant cette épée de chair chaude dans le ventre. Puis, j’ai la salive qui vient à manquer, je veux boire, vite un verre, de n’importe quoi, mais de grâce donnez-moi à boire. Alors, tu files vers la cave et bientôt j’entends le « plop » caractéristique d’un bouchon de champagne qui saute. Quand tu nous tends à toutes les deux un verre pétillant, j’ai la ...