Intermède familial - Histoires de Sexe

Intermède familial

... je pense que j’ai attendu si longtemps pour connaître ça. Tu te souviens quand tu étais venu passer cette semaine à la maison de campagne quand tu avais quinze ans ? Que tu n’arrêtais pas de mater mes seins et que tu allais te branler sans arrêt dans les toilettes ?— Je… Tu savais que j’allais me branler ?— Laurent ! Tu crois que ça passe si inaperçu que ça ? Rien que l’odeur. De le savoir, ça me rendait folle. Je me passais tellement d’huile à bronzer sur les seins pour que tu profites du spectacle que le flacon y est passé en une semaine. Je faisais semblant de m’endormir en espérant que tu finirais par venir te branler juste devant moi. J’aurais fait semblant de me réveiller et d’être fâchée avant de te sucer. Mais tu ne l’as jamais fait. Ou alors, je me disais que j’allais enlever le bas aussi et te demander de venir me mettre de l’huile dans le dos. Puis je t’aurais dit de descendre plus bas sur mes fesses, puis entre, en te disant de bien étaler pour protéger cet endroit fragile et sensible. Peut-être même que tu m’aurais déjà mis un doigt dans le cul à ce moment-là. Ah, si ta mère n’avait pas été ma sœur, je t’aurais fait ton éducation. Et maintenant, je regrette vraiment de ne pas l’avoir faite.— Je… Je ne sais pas quoi dire… Si j’avais su.— Ne dis rien. On ne refait pas le passé. Je peux prendre une douche ? Je ne peux pas rentrer comme ça. Je pue le sexe à cent pas.— Oui, bien sûr. Enfin, oui, pour la douche, je veux dire. Lorsqu’elle ressort de la douche, elle ...

... me dit : — Bon, il vaut mieux que ta mère et Béa n’apprennent pas ce qui vient de se passer ici. Ta mère parce qu’elle m’en voudrait à mort. Je pourrais lui répondre deux ou trois trucs, mais ça ne ferait qu’envenimer la situation. Et Béa, parce qu’elle ne comprendrait pas.— Tout à fait d’accord. Mais Béa saura que tu es venue puisque tu as ramené les chaussures.— Oui, je vais lui dire que je suis venue te faire la leçon. Donc, si elle te demande, tu n’as qu’à lui dire que je t’ai dit ce que je lui ai dit à elle : baisez tant que vous voulez, mais ne mélangez pas sexe et amour. Pas question de vous mettre en couple et sûrement pas de faire des enfants. Et pour toi, pas question de la forcer à rentrer encore à moitié à poil. D’accord ?— D’accord.— Bien. Et si tu veux encore sauter ta tantine, tu sais où j’habite. Mais préviens-moi avant, je ne voudrais pas que tu me tombes dessus alors que je ne suis pas à mon avantage.— Impossible, tu as… tu es parfaite. J’ai failli dire "tu as vraiment de très beaux restes". Mais ça ne me parait guère flatteur. Tout comme "tu es drôlement bien conservée". Ça ressemble plus à une vacherie qu’à un compliment. — Eh bien, à un de ces jours, alors. Maintenant que tu as déposé ta semence dans mon trou de cul, il faudra bien que tu rétablisses l’équilibre des choses en faisant pareil dans mes autres orifices ! Elle me fourre la langue en bouche et puis s’en va si vite que j’ai l’impression d’avoir rêvé tout ça. Mais en repensant à ses deux seins ...