Intermède familial
Datte: 26/12/2017,
Catégories:
fh,
oncletante,
Inceste / Tabou
grosseins,
fépilée,
noculotte,
chaussures,
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
totalsexe,
tante,
... lourds, je sens mon sexe qui se relève un peu plus à chaque battement de cœur. Ça ravive quelques souvenirs lointains. Je me tape une petite branlette. Le lendemain après-midi, Béa est de retour. Elle porte un pantalon fuseau en velours avec des bottillons à talons et un blouson de cuir très court. Toute la panoplie est de couleur noire. Elle a un sac de cuir sous le bras, noir lui aussi. Elle semble hésiter sur le pas de la porte. — Tu n’entres pas ? je lui demande.— Tu es sûr que je ne te dérange pas ? Je ne voudrais pas tomber sur une autre femme.— Tu passes quand tu veux, il n’y a pas d’autre femme. Je lui proposerais même bien de s’installer, mais ça ne serait pas compatible avec les recommandations de maman/tantine, malheureusement. On doit être sur la même longueur d’onde, car dès que j’ai refermé la porte derrière elle, elle me demande si sa mère est venue me faire une leçon de morale. Je lui répète ce que m’a dit tante Claire : du sexe tant qu’on veut, mais à condition de faire la part du plaisir et des sentiments. Pas question de couple et encore moins d’enfants. Et que je ne la force pas à sortir à moitié nue. Ce à quoi, elle me répond : — Oh, mais tu n’auras pas à me forcer. Je le referai avec plaisir. Surtout si tu es là pour me mater ! Elle me raconte son retour, et sa sortie de voiture : — Il y avait du monde sur le trottoir. Un homme seul et un couple. J’ai pris mon courage à deux mains, je me suis mise à marcher d’un pas décidé, en lançant la jambe en avant, ...
... en faisant claquer mes talons, et en bombant le torse fièrement. Ils se sont tous arrêtés pour me regarder passer. Le gars seul, j’ai cru qu’il allait devoir ramasser sa mâchoire sur le trottoir, et l’autre, sa femme le tirait par le bras, pas contente du tout. Je me suis trempée rien qu’à défiler ! Elle poursuit : — Par contre, ensuite, ça a été moins drôle. Maman m’attendait. Elle m’a transpercé du regard, s’est approchée d’un coup et m’a troussé la jupe. Et là, j’ai eu droit à l’engueulade du siècle… J’étais morte de honte. J’ai fondu en larmes. Je lui ai tout raconté… Enfin, presque tout. Et puis, elle m’a prise dans ses bras, m’a dit que j’étais très belle, qu’elle était fière de moi. Mais que je devais faire attention. Et puis, elle m’a fait plus ou moins la même leçon qu’à toi. Voilà. Elle se jette dans mes bras. Je l’enlace. Colle ma joue contre la sienne. Après un moment, je recule mon visage pour la regarder. Je lui souris. Elle quitte enfin son air grave. Des perles d’eau sont visibles au coin de ses yeux magnifiques. J’ai le cœur qui se serre. Autant pour cacher mon désarroi que pour nous ramener vers des choses plus gaies, je vais rechercher les escarpins et lui en fais cadeau. — Comme souvenir de notre première fois et parce que ça te va vraiment bien. Son sourire est tout à fait revenu. Elle me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche. — Merci, mais aujourd’hui, ça t’embête si j’essaie les jaunes que j’ai vus hier dans ton placard ?— Bien sûr que non, tu es ...