1. Intermède familial


    Datte: 26/12/2017, Catégories: fh, oncletante, Inceste / Tabou grosseins, fépilée, noculotte, chaussures, rasage, Oral fdanus, fsodo, hdanus, totalsexe, tante,

    ... pour que la chaleur s’évacue. Je mets le repas en route et je sers le vin. Elle arrive juste au moment où je commence à servir. On mange en silence, en se jetant des regards par dessus nos assiettes. Une fois terminé, on passe au salon, en emmenant nos verres et le restant de la bouteille de vin pour le siroter tranquillement. — Tu sais, tantôt, tu aurais pu en profiter. Je me serais laissée faire. En fait, tu aurais dû en profiter. J’en avais vraiment envie.— Bah, la soirée ne fait que commencer… Elle visse son regard sur le mien, et je sais que je ne pourrai plus détacher mes yeux des siens. Ça me fait toujours cet effet-là quand elle me regarde comme ça. — Tu es vraiment très belle, tu sais. Une vraie déesse grecque descendue de l’Olympe pour tenter le pauvre mortel que je suis. Son regard se fait encore plus intense. Je commence à ressentir un léger malaise, pourtant si agréable. — Ton regard est si profond qu’il me donne le vertige. J’ai l’impression que je vais basculer au fond de tes yeux. Ma main trouve son genou et remonte très lentement sur le dessus de sa cuisse. Elle détourne les yeux, pose son verre et puis m’embrasse fougueusement. Elle a un goût de vin. Sa main s’aventure sous mon short. Il n’y a pas de barrière. En une seconde mon sexe est dans sa main. Et l’instant d’après, je suis au garde-à-vous. Je me dégage, afin de pouvoir me débarrasser de mon verre qui m’encombre et reviens à la charge. Elle me baisse le short et me prend dans sa bouche. J’ôte mon ...
    ... t-shirt et profite de l’instant. Ses lèvres font des allers-retours. Hmmm… — Doucement, je lui dis. Tu viens de manger. Ne te rends pas malade. Elle revient m’embrasser. Je lui déboutonne nerveusement le chemisier, dont elle se débarrasse sans ménagement. Je la renverse, trousse la jupe et commence à lécher son entrejambe fraîchement épilé. — Hé ! Doucement. Tu viens de manger ! Elle se fout de ma poire, mais je m’en fous. Ma langue la fouille, allant de son clitoris à son puits d’amour. Elle dégouline, ça lui coule entre les fesses, jusque sur l’anus. Je précise les opérations. Ma langue se concentre sur son clitoris, pendant que je la pénètre de deux doigts dans le vagin. Et mon pouce tourne autour de sa petite rondelle qu’elle a généreusement lubrifiée pour moi. Au moment où elle jouit, je force l’entrée et enfonce mon pouce jusqu’à la garde. Elle pousse un petit cri de surprise, mais sa jouissance n’en est que renforcée. Elle retombe, et je sens la lente palpitation autour de mon doigt. Quand ça se calme, je le retire doucement. — Ouah, mon cher cousin, qu’est-ce que c’était bon ! Elle se redresse, se débarrasse de sa jupe et revient me sucer la bite. C’est bon pour moi aussi. Je commence à râler. Alors, à son tour, elle me pousse sur le dos et vient sur moi. Elle commence à pomper sur ses jambes fléchies pendant que je lui caresse le ventre et ses seins de pierre. Elle jouit à nouveau. — Mon pauvre Laurent. Déjà deux fois - même trois si on compte celle de tantôt - pour moi ...
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