Intermède familial - Histoires de Sexe

Intermède familial

... et tu n’es toujours pas avec moi.— Patience. Autant que ça dure longtemps, tu ne crois pas ?— Oh oui. Je la retourne. Elle est à quatre pattes. Enfin, trois, puisqu’elle a une jambe tendue en dehors du sofa. — Attends, c’est encore très sensible pour le moment.— Ce n’est pas grave, tu vas pouvoir souffler un peu. J’enfile un préservatif, et je pose mon gland à sa porte de derrière. — Hé, ce n’est pas le bon trou.— Il me semble qu’ils sont tous bons. Qu’est-ce que tu en penses ? dis-je en appuyant de plus en plus fort à son entrée.— Oh bon sang ! J’y crois pas. Bon, d’accord. Mais doucement, hein. Je suis vierge de ce côté-là, moi.— Tout en douceur, c’est promis. J’ai toujours un flacon de gel lubrifiant pas loin des préservatifs. J’en mets une bonne dose. Je pousse avec ma queue, ça s’ouvre doucement. Elle respire fort. — Laisse-toi aller, tout va bien se passer.— Ressors-le. Et re-rentre-le. Je veux sentir à nouveau ce que ça fait. Je m’exécute. — Oh, oui. Encore une fois. Je ressors et la pénètre à nouveau. Cette fois, il n’y a plus la moindre résistance, alors je commence à faire des va-et-vient. D’abord lentement, puis de plus en plus vite. Elle s’appuie d’une main sur le dossier, pendant que l’autre fouille son entrejambe. Et vlan ! Elle arrive encore à jouir avant moi. Elle se donne une demi-minute de répit, me débarrasse du bout de latex et me reprend en bouche. Cette fois, c’est la bonne, je le sens. Je vais venir. Je le lui dis. Elle ne réagit pas et continue à me ...

... sucer de plus belle. — J’y suis ! parvins-je à articuler une demi-seconde avant de lui envoyer le contenu de mes burnes dans la gorge. Mais elle n’en a cure. Elle continue à pomper avec sa bouche comme si de rien n’était, en brave petit soldat. Quand mes contractions s’arrêtent, elle dépose un mélange de sperme et de salive sur le bout de ma queue et revient me masser le gland de ses lèvres en utilisant ce lubrifiant improvisé. C’en est trop, je vais craquer. Mes genoux flageolent. Satisfaite, elle ré-aspire le tout, et avale sans broncher comme si je venais de lui servir le dessert. — Ben dis donc. Je n’ai pas été habitué à ça. D’habitude les nanas rouspètent parce que ça n’est pas bon, et ceci, et cela…— Oui, c’est vrai. Au début, en tout cas. Mais on s’y fait. Moi j’aime bien ça, maintenant. Ce pouvoir que tu as quand le mec est en train de jouir et que tu le tiens entre tes lèvres, c’est fantastique ! Et puis, je n’ai pas été habituée non plus à ce qu’on me pompe le trou du cul !— C’était la pipe la plus géniale qu’on m’ait faite. Merci pour ce moment d’intense bonheur.— Merci à toi aussi. Je ne pensais pas qu’on pouvait prendre du plaisir par derrière. Mince, il faut que je téléphone à maman, elle va se demander ce que je fous.— Tu ne resterais pas ici cette nuit ?— Hmmm… C’est une idée. Toujours seulement vêtue des escarpins, elle va prendre son portable. Appuie sur quelques touches et porte le bidule à son oreille. — M’man ? C’est moi. Dis, je vais passer la nuit ici ...