Intermède familial - Histoires de Sexe

Intermède familial

... fait ?— Je n’en sais rien, je n’ai jamais mis les pieds dans un institut de beauté.— Évidemment… Cette conversation prend une tournure surréaliste. — Pour parler d’autre chose, ajoute-t-elle, on ne m’a jamais sodomisée…— Tante… Je croyais que tu n’étais pas venue ici pour me faire la morale.— Tu ne comprends pas. Laisse-moi finir. On ne m’a jamais sodomisée. Et si j’en crois Béa, elle a adoré ça. Je ne voudrais pas mourir idiote. Alors Lolo, tu vas être un gentil petit neveu et enculer ta tantine, d’accord ? Je suis ébahi. Elle se penche en avant pour me toucher le genou. Un de ses seins s’évade de sa robe. Je commence à manquer d’air. Respire Laurent, respire ! Je déglutis et finis par acquiescer de la tête, ne me sentant pas capable de parler pour l’instant. Alors, elle se lève, ôte sa ceinture, détache les deux derniers boutons qui tiennent encore sa robe à peu près fermée et me présente sa croupe en se penchant en avant sur le sofa. — Mais, euh… On ne peut pas faire ça comme ça, lui dis-je. Je veux dire… Il faut voir ça comme la cerise sur le gâteau. Ça vient en plus d’une relation normale.— C’est vrai ça ou c’est un truc pour me fourrer partout ? Parce que tu n’as pas besoin de me raconter des histoires, hein. Il suffit de demander.— Ce ne sont pas des histoires. Et si je peux demander quelque chose, est-ce que je peux commencer par te peloter les seins ? Parce que, eh bien, ils sont assez exceptionnels. Elle sourit. Je ne dois pas être le premier à faire une fixation ...

... sur sa poitrine. Chacun de ses seins est plus large que son visage et ses aréoles sont si larges qu’elle ne pourrait pas les cacher derrière ses petites mains. Alors, je commence à les caresser, les triturer, les pétrir, les malaxer. Rien à voir avec ceux de sa fille. Ils sont tendres et souples, pour ne pas dire mous. Bien sûr, ils pendent très fort. Il y a longtemps que tantine ne doit plus passer le test du crayon. Mais les mamelons sont encore fiers et non pas pointés vers le sol. Je les soupèse, les fais sauter dans mes mains. Je les écrase, je les comprime, je les écarte. J’en attrape les bouts et les tire vers moi. Les deux globes se soulèvent. Je commence à imprimer des mouvements de bas en haut en alternance. Ça génère une espèce d’onde comme des vagues à leur surface. Je suis fasciné. — Ça va, tu t’amuses bien ? Je remonte mon regard vers son visage. Elle sourit. Je crois bien qu’elle se fout de moi. Alors, je plonge mon visage entre les deux mamelles et me les écrase sur les joues. C’est doux. Je pince son sein droit dans ma main et aspire le mamelon, essayant de tout prendre dans ma bouche. Peine perdue. Je le lèche, je le suce. Ça produit néanmoins son petit effet, car je sens que ça prend consistance dans ma bouche. — Hé, son petit frère se sent un peu abandonné. Son visage a changé. Il est plus grave. Elle commence à être en phase avec moi. Alors, je m’occupe un peu de l’autre avant de descendre vers sa chatte qui commence à suinter pour la lécher. Comme elle est ...