Intermède familial - Histoires de Sexe

Intermède familial

... doit surmonter le côté tabou d’une relation avec son cousin.— Et c’est de ça que tu veux me parler ?— Pour commencer, oui. Comprends-moi bien, je ne suis pas venue ici pour te faire la morale. Mais c’est ma fille, et il y a certaines choses auxquelles je dois veiller. Ça m’est complètement égal que vous vous envoyiez en l’air, si ça ne va pas plus loin que ça, et que vous êtes bien capables de faire la différence entre sexe et sentiments. Mais, je ne veux pas que tu profites d’elle et de ses faiblesses. Béa ne sait pas dire non. Il suffit d’insister un peu avec elle et elle finit toujours par faire ce qu’on demande. C’est comme ça que je l’ai obligée à tout me raconter… Me voilà un peu mal à l’aise. Je change de position dans le fauteuil pour me donner une contenance. Claire détache deux boutons du dessus de sa robe. — Au fait, Laurent, de quelle couleur sont mes chaussures ?— Blanches, dis-je.— Ah bien sûr, j’oubliais que j’ai affaire à un fétichiste. J’aurais dû en détacher deux de plus pour compenser.— Ah mais non, pas du tout ! Un fétichiste, c’est un gars qui bande pour la chaussure et pour qui la femme n’est qu’un faire-valoir pour l’objet. Moi, je bande pour la nana et je trouve que les talons la mettent en valeur.— Je ne sais pas qui est l’inventeur du talon-aiguille, mais les femmes lui doivent une fière chandelle.— Exactement, ma chère Norma Jean.— Bien, ça me rassure déjà sur un point. En fait, je me rends compte en remontant mon regard de ses chaussures vers son ...

... visage qu’elle a effectivement détaché deux boutons de plus. Le décolleté est maintenant tellement profond que je peux voir bien plus que le large sillon entre ses seins. Je me demande même si je n’aperçois pas la lisière d’une aréole. — Bref. Tout ça pour dire que ça ne me fait pas plaisir de voir rentrer ma fille sans culotte sous sa mini-jupe.— J’en prends bonne note.— Bien. Me voilà rassurée sur un deuxième point. Elle croise les jambes, et je m’aperçois que le dessous de sa robe est largement déboutonné également, car les pans basculent sur le côté, me dévoilant ses jambes très haut. Malgré les années, ce sont de sacrées belles gambettes. Et je peux voir le dessous de sa cuisse presque jusque sa fesse. Pas la moindre trace de cellulite. Tout est bien lisse. — Au fait, ajoute-t-elle, j’ai cru aussi comprendre que tu aimais bien une toison pubienne bien dégagée ? J’avais rendez-vous chez l’esthéticienne en fin de matinée, j’en ai profité pour demander ceci pour toi. Ça te plaît ? Elle écarte totalement les cuisses pour me dévoiler son pubis totalement imberbe. Je ne sais pas trop où elle veut en venir, je joue donc la prudence. — Euh, tu vas pouvoir porter des maillots très échancrés avec ça. Mais pour répondre à ta question, je préfère quand il reste quand même une petite bande de poils.— Eh bien tant pis. Mais je trouvais que ça n’allait pas d’exhiber une toison brune en ayant des cheveux blonds.— Elle ne fait pas de colorations, ton esthéticienne ?— Non. Pourquoi ? Ça se ...