1. le conflit des générations (4)


    Datte: 27/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ma position moitié assise. Dans la nuit, ma tante me réveille, elle avait dans la main, la mini fourche électrique et s’amusait à me toucher avec. « Tu crois vraiment que je ne t’en veux pas d’avoir couché avec mon mari quand j’étais malade. Détrompes-toi, je t’en veux surtout parce qu’il ne m’en a pas parlé. Jusque-là à chaque qu’il couchait avec une autre femme on en parlait comme je lui parlais quand moi je trouvais à m’amuser aussi. On ne se cachait rien jusqu’à ce qu’il te saute. Il a fallu que ce soit Albert qui m’en parle. » Et elle continuait à me toucher avec cette mini fourche, moi je sursautais et je secouais la tête, bien que je me sentais coupable et c’est pourquoi j’avais tout accepté de sa part. D’avoir été traitée plus bas que terre, jusqu’à ramper dans la boue à leurs pieds, et même si ça m’excitait d’être humiliée, j’avais cette culpabilité en moi par rapport à ma tante. Elle m’enleva le bâillon et prit le martinet noir .« Tu sais ma tante, il m’a dit qu’il t’aimait et que ce qu’il faisait avec moi ne changeait rien aux sentiments qu’il avait pour toi. » « Ca ne change rien, s’il ne m’a rien dit c’est que quelque part, il t’aimait plus que bien. Tu n’es qu’une chienne et ça ne sert à rien de pleurnicher! » Et elle me fouetta les seins jusqu’à ce qu’ils soient marbrés de zébrures et boursouflures. Le lendemain matin, Albert me détacha et je les rejoignis dans la cuisine pour le petit déjeuner. Francis et Gérard étaient partis. Ma tante me parla comme si la ...
    ... conversation de la nuit dernière n’avait pas eu lieu. « Tu vas nous manquais, on t’aime comme notre fille » Elle passa sa main sur mes seins. « Ils sont beaux quand ils sont dans cet état» Ils étaient striés d’hématomes et de boursouflures. Elle y avait été vraiment fort. Je me levais, je les embrassais et me rhabillais pour partir. Ma tante me donna un sac remplit de vidéos. « Je garde juste celle de ce week-end, les autres je te les donne en souvenir. Francis en a rajouté des autres, je ne sais pas ce qu’elles contiennent, tu verras bien » En rentrant chez moi, je finis mes cartons et mes bagages, les vidéos furent emballées dans un carton et misent de côté. De toute façon, je savais que l’une des premières choses que je ferai en m’installant et de voir un psy pour faire soigner cette addiction à l’humiliation et à la douleur surtout au niveau de la poitrine.Un mois plus tard, installée à Lyon, je continuais à vivre nue. J’oubliais que je n’avais toujours pas posé de rideaux comme je vivais dans un appartement à l’étage, je pensais qu’il n’y aurait aucun problème. Jusqu’au jour où on sonna à ma porte. J’allais ouvrir en tenue d’Eve sans me poser de question. Je trouvais une femme devant ma porte .« Mais vous ne pourriez pas vous habiller avant d’ouvrir ! » J’allais mettre un peignoir et la fis entrer. « Voilà, je vis en face de chez vous, moi personnellement je m’en moque du fait que vous ne vous habillez pas, je vis seule. Le problème c’est que j’ai de la visite parfois et ...
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