La maison en haut de la falaise
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
fh,
vacances,
douche,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fsodo,
tutu,
Tu es remontée de la plage, mais tous les autres sont encore là-bas. Tu entends encore le bruit des estivants, des enfants qui crient dans les vagues. Le petit chemin escarpé a été dur à remonter pour toi. Mais grâce à lui, tu as pu atteindre la petite maison qui domine la mer. Une maison incroyable qui surplombe la prairie au-dessus de la falaise. Et devant, tout le bleu lumineux de l’océan, ce bleu éclatant, presque insolent. Une maison incroyable d’où on peut contempler toute la mer et les voiles blanches tout là-bas, mais où personne ne peut nous voir, comme sur le toit du monde face au plus beau paysage que l’on puisse imaginer. Depuis l’enfance, tu viens ici, combien d’étés. Tu ne peux pas t’en lasser. Tu arrives enfin à la maison. C’est une véritable fournaise, là-dedans. Alors tu ouvres toutes les portes-fenêtres qui donnent sur la terrasse en bois. Les grands voilages s’envolent comme des voiles… Le bruit de la civilisation surgit, présent mais invisible en contrebas, contraste violent avec le spectacle entièrement végétal et minéral, sans trace humaine. Enfin presque. Car plus bas, dans la prairie, on aperçoit un couple, dans les grandes herbes. Un couple d’amoureux sans doute, qui vient chercher ici un peu de calme pour échanger leurs caresses… Tu ne veux pas les regarder, c’est leur vie et on ne regarde pas les autres dans ces moments-là ! Mais malgré tout, il est difficile de les quitter des yeux. L’homme est allongé, tendu en arrière, comme un arc. Tu ne vois ...
... pas où est la femme, mais il n’est pas difficile d’imaginer les caresses qu’elle lui prodigue… Te voilà troublée maintenant, il ne manquait plus que ça.« Allez on se reprend !» Tu es en nage. Il te faut prendre une douche. Et sans réveiller le mari de ton amie Nelly, qui est resté faire la sieste… Tu te précipites vers la salle de bains et en quelques minutes, tu es nue sous la douche. L’eau est tiède et coule partout, c’est bon. Les images du couple continuent de valser dans ta tête, comme un fantasme… faire l’amour dans les hautes herbes ! Tu as chaud, tu as envie de laisser tes mains te caresser.« À quoi est-ce que ça rime ? Reprenons-nous, camarade !» Tu te sèches aussitôt, tu serres ta serviette autour de toi. Te revoilà dans le séjour, dans le bleu éclatant de la lumière d’été. Tu sais bien ce que tu as envie de faire. Tu sais bien qu’il ne faut pas, et pourtant, cela t’obsède.« Sont-ils encore là ? » « Que font-ils maintenant ? » En serrant toujours ta serviette autour de ta taille, tu te diriges vers la terrasse, en surplomb de la prairie. Tu t’approches de la balustrade. Oui, ils sont toujours là, mais les choses ont évolué. Elle est à genoux sur le sol et offre son postérieur à son amant. Et lui, assis au-dessus d’elle, la pénètre lentement et régulièrement, sans faiblir, sans même accélérer. Tu ne peux pas dégager ton regard de cette scène. Serais-tu devenue voyeuse ? Tu as envie de te caresser. Tu te plaques contre la balustrade, les jambes autour du pilier de bois, ...