1. La maison en haut de la falaise


    Datte: 05/07/2017, Catégories: fh, vacances, douche, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo, tutu,

    ... tout entier ? Tu ne peux pas t’empêcher de le lui dire : — Mais prends-moi, vite !!! Cette fois-ci, c’est toi qui as pris le pouvoir, car il a aussitôt sorti son visage de tes fesses et s’est mis debout derrière toi. Et aussitôt, tu as senti enfin, ce que tu attendais depuis des heures, l’extrémité de son sexe appuyé contre ton anus… Qu’est-ce que tu aimes ce moment-là ! À chaque fois c’est pareil. Ton moment préféré. Avant que tout commence, avant que tout arrive… Comme le calme de l’armée qui attend le signe de son général pour attaquer le village endormi, comme le calme avant le tumulte de la bataille. L’électricité dans l’air… Jamais tu n’as aimé autant ce moment, jamais tu n’as autant attendu ce qui va arriver. Et en même temps, jamais tu n’as eu autant envie que cet instant de désir à son extrême, ne dure indéfiniment… Qu’est-ce que tu aimes cette sensation de l’extrémité de son sexe, dur, raide, dressé, contre ta rondelle qui l’attend ! Un éclair dans les yeux… Une sensation brûlante entre les cuisses… Les jambes qui flagellent… Cela ne dure qu’une demi-seconde. D’un coup, sans hésiter, tout son sexe entre dans tes entrailles. Jusqu’au fond. Et s’y arrête quelques instants. Que c’était bon, ce mélange de douleur et de plaisir intense ! Et de bien-être de se sentir ainsi remplie, pleine de lui, de sa vigueur, de sa sève, de sa virilité ! Ensuite, tout va très vite. Il agrippe tes hanches et entame un profond va-et-vient en toi, déjà rapide au début, mais si vigoureux, ...
    ... si volontaire, si ample, si profond, oui, si profond… Jamais, jamais tu n’avais été prise comme ça, jamais tu n’avais été remplie et aimée ainsi. Et lui, agrippé à tes hanches, qui continue ses mouvements amples et profonds. En accélérant à peine. Très vite, tu sens ton plaisir venir, tu veux qu’il aille toujours plus fort, plus profond, plus vite !!! Tu recules tes fesses en rythme avec ses mouvements pour qu’il te pénètre plus profondément. Tu le forces instinctivement à accélérer pour faire monter vite ton plaisir… Tu ne t’en rends pas compte, mais tes cris se mélangent aux cris des enfants de la plage. Tu ne le vois pas, mais tes hurlements ont fait sursauter les amoureux qui se reposaient de leurs efforts. Ils vous ont aperçus et ont compris que vous les aviez matés. Ils ont filé en vitesse ! Tu ne sais rien de tout cela, car tu es partie. Plus rien n’existe que ce plaisir qui monte en toi, comme une vague de l’océan, qui te fait partir. Qu’il n’arrête surtout pas, qu’il continue, tu sens l’orgasme venir, un plaisir comme tu n’en as jamais connu, qui va tout emporter sur son passage. Tu sens à peine les soubresauts de son sexe qui jouit dans tes entrailles. Plus rien n’existe que ce tremblement en toi qui ne veux pas s’éteindre, que ces vagues de plaisir qui irradient tout ton corps que cette lumière en toi qui te brûle. Tu ne te souviens pas des moments qui ont suivi. Quelques minutes plus tard, tu te réveilles. Tu es nue, en sueur, sur la terrasse. Tu as du mal à ouvrir ...