1. Ma coloc' Nina - Ch. 6


    Datte: 27/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    CHAPITRE 6: LES TOILETTES DE LA FAC Le début de la semaine avait été plus calme que le week-end. Forcément. Quand je rentrais du boulot, Nina était généralement déjà arrivée depuis un moment. Je posais mes affaires, et après l’avoir embrassée, je prenais possession de son corps, où qu’elle se trouve. Une fois sur le palier, une autre dans la cuisine, une autre dans le salon. Elle était totalement mienne. Je la démontais, littéralement. Je la baisais comme une bête et jouissais assez vite, en elle ou sur elle, mais comment faire autrement quand, toute la journée devant mon ordinateur, je ne pensais qu’à comment j’allais la prendre le soir. Nina, elle, ne jouissait pas forcément, mais elle savait que j’avais le contrôle sur ses orgasmes aussi, et elle me remerciait après l’avoir baisée. Nos soirées étaient plus calmes, même si nous remettions ça en général après le repas, et le matin, nous recommencions. Nina avait compris ce que je voulais et me suçait pour me réveiller. Puis nous déjeunions, je lui choisissais une tenue, et nous partions, moi au boulot, elle à l’université. C’était déjà presque une petite routine, mais c’était loin d’être désagréable. Mais ce jeudi, j’avais pris un RTT. J’avais une petite galère administrative à régler et à laquelle je ne pouvais pas échapper. A 11h, je m’en étais débarrassé, et j’étais libre. Libre, mais seul à l’appartement, puisque Nina avait encore cours jusqu’en milieu d’après-midi. Alors à moitié affalé dans le canapé, j’ai dégainé mon ...
    ... portable et lui ai envoyé quelques messages, d’abord presque anodins, et puis j’ai eu envie de m’amuser un peu. « Je veux voir ton corps. Tu as cinq minutes. » Je savais très bien qu’à cette heure-ci, Nina était en classe. Pourtant, cinq minutes plus tard, je recevais un message. « Voilà », accompagné d’une photo d’elle, prise dans un miroir, dans ce que j’imaginais être les toilettes de la fac, le jean sur les genoux, le pull relevé au-dessus de ses seins. Pas de culotte, comme je le lui avais interdit le matin même. Bien sûr, j’ai encore plus eu envie d’elle. Si bien que cinq minutes plus tard, j’étais déjà sur mon vélo, et en chemin pour l’université. Heureusement, ce n’était pas très loin. Je n’avais que le fleuve à traverser, et comme j’étais moi-même passé par cette université quelques années auparavant, je savais plus ou moins ou aller. Quoi qu’il en soit, moins de vingt minutes après avoir reçu la photo de Nina, je lui répondais: « Rendez-vous dans les toilettes du rez-de-chaussée à côté de l’entrée, dans cinq minutes. Pas une de plus. » Et en moins de cinq minutes, Nina m’avait rejoint. _ Qu’est-ce que tu fais là ? m’a-t-elle demandé en rentrant dans les sanitaires. J’ai dû demander à aller aux toilettes deux fois en moins d’une demie-heure. _ Rentre là-dedans et fous toi à poils, ai-je dis en poussant la porte d’une des quatre cabines. Nina s’est mordu la lèvre, de manière très érotique. Apparemment, l’idée lui plaisait. Elle est entrée dans la cabine avec moi, et ...
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