Ma coloc' Nina - Ch. 6
Datte: 27/12/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sans plus attendre, a fait passer son pull au-dessus de sa tête. A la vue de sa poitrine, je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai giflé l’un de ses seins, puis le deuxième, et je l’ai attrapée par un téton pour l’attirer vers moi. _ Impossible d’attendre ce soir pour profiter de ma chienne, lui ai-je chuchoté à l’oreille. _ Alors profites-en maintenant. Je l’ai embrassée en tirant un peu plus sur son téton, puis l’ai retournée face au mur. Rapidement, j’ai moi-même défait son pantalon, et l’ai baissé à mi-genoux, comme sur la photo. Puis je l’ai poussée en avant, et Nina s’est penchée en s’agrippant au siège des toilettes. A mon tour j’ai défait mon jean, et en ai sorti mon sexe dur comme de la pierre. Sans plus attendre, je l’ai glissé entre les cuisses de Nina, puis entre ses lèvres, et j’ai poussé en elle. Mes mains sur ses hanches, j’ai commencé à la baiser. Sans me précipiter, mais sans tendresse non plus. Mon corps claquait contre le sien, et nos bruits de baise résonnaient dans la pièce. Nina, le front posé contre la cuvette relevée, les mains accrochées à la faïence, commençait à gémir de plus en plus fort. Je crois que l’un comme l’autre étions plutôt excités à l’idée de faire ça dans un lieu qui est, par définition, à l’opposé du lieu romantique. Les toilettes manquaient cruellement d’entretien, et l’odeur acre de la pisse régnait un peu partout. Pour autant, nous étions tous les deux terriblement excités. J’ai ensuite commencé à la fesser, et Nina s’est mise à crier ...
... un peu plus, me remerciant de la baiser comme je le faisais. Je crois même qu’elle était sur le point de jouir, sans ma permission, quand nous avons entendu la porte des sanitaires s’ouvrir. Aussitôt, nous nous sommes arrêtés, le temps d’entendre la personne rentrer dans un box, défaire une ceinture, un pantalon, et s’assoir. Nous n’osions bouger ni l’un ni l’autre. Mais la situation était trop tentante. J’ai glissé ma main entre les cuisses de Nina, sous elle, et ai commencé à la branler. Elle a tourné la tête et m’a regardé d’un air suppliant, pour que je m’arrête, mais bien sûr j’ai continué, et même accéléré un peu la cadence de mes doigts sur son clito. Elle s’est mise à gémir doucement, et pour éviter qu’on l’entende, a mordu dans son pull. _ Qu’est-ce qu’il y a? lui ai-je dis à l’oreille, tu ne veux pas que tes copines de l’école sachent quelle chienne tu es? Elle a fait non de la tête, alors je lui ai mis une fessée assez forte, et assez bruyante. _ Si tu ne jouis pas avant que ta copine parte, tu seras punie ce soir, c’est compris? Cette fois, elle a acquiescé. J’ai continué à la branler en silence, tout en allant et venant doucement dans son vagin. Nous étions tellement silencieux qu’on avait l’impression d’être dans la cabine d’à côté. On entendait clairement la camarade de Nina pisser, puis s’essuyer, tirer la chasse et se rhabiller. La porte de la cabine s’est ouverte et nous avons entendu le robinet se mettre en marche. Nina n’avait toujours pas joui, malgré mes ...